L'amour qu'on me donne
Je pourrais grogner, serrer les poings en jouant les bonhommes
Hurler aux 4 vents comme pour terrasser les fantômes
Ne pas craindre le noir, ni même l'orage qui raisonne
Jouer les cœurs de pierre, genre j'ai besoin de personne
Je pourrais, faire comme si sûr moi, rien n'avait de prise
Aucun remord, ni sentiment, du marbre froid et lisse
Posséder des voitures, des tas de villas, même des royaumes
Mais que serais-je, pauvre homme, sans tout l'amour qu'on me donne?
Je pourrais entasser les montagnes jusqu'à atteindre la lune
Amasser des thunes jusqu'à dépenser par habitude
Je pourrais prendre la clé des champs à chaque fois que ça me chante
Aller capturer des tornades ou même dresser des ouragans
Je pourrais vaincre les plus forts, dépasser les plus grands
Sans faire le moindre effort, faire s'arrêter le temps
Je pourrais bien plus encore, même porter une couronne
Mais que serais-je vraiment sans tout l'amour qu'on me donne?
Si j'avance avec plein de peurs
Non, la vie n'est pas qu'un bain de pleurs
Je plie, mais voilà que je résiste, pour que tu me vises d'une autre flèche en plein cœur
Il n'y a rien de pire que d'être seul
Le sort est une balle à tête creuse
Des fois, faut savoir l'éviter, aisé, quand on est touché, par mille flèches en plein cœur.
Mais que serais-je sans l'amour qu'on me donne?
Peut-être bad rappeur, un voyou des consonnes
Ah, ou alors un gars qui consomme
Tue la vie par les 2 bouts parce que les autres complotent
Dans mos dos, je boirais les océans
Hausser au-delà des monts, voler au-dessus des méandres
De grandes villes illuminées, culminerais
Fulminerais, finirais par éliminer
Ceux qui nous font de l'ombre, effaceraient toute leur aura
Si sombre, que j'ôterais toutes ces couleurs au rap
Je serais cette lettre nouvelle qui brise le moral
Comme la crise globale, triste oracle
De mes échecs je chargerais les sacs de mes frères
Prendrais le spectre pour être le king de mes paires
Ouais je pourrais porter cette couronne
Mais que serais-je vraiment sans tout l'amour qu'on me donne?
Si j'avance avec plein de peurs
Non, la vie n'est pas qu'un bain de pleurs
Je plie, mais voilà que je résiste, pour que tu me vises d'une autre flèche en plein cœur
Il n'y a rien de pire que d'être seul
Le sort est une balle à tête creuse
Des fois, faut savoir l'éviter, aisé, quand on est touché, par mille flèches en plein cœur
Hurler aux 4 vents comme pour terrasser les fantômes
Ne pas craindre le noir, ni même l'orage qui raisonne
Jouer les cœurs de pierre, genre j'ai besoin de personne
Je pourrais, faire comme si sûr moi, rien n'avait de prise
Aucun remord, ni sentiment, du marbre froid et lisse
Posséder des voitures, des tas de villas, même des royaumes
Mais que serais-je, pauvre homme, sans tout l'amour qu'on me donne?
Je pourrais entasser les montagnes jusqu'à atteindre la lune
Amasser des thunes jusqu'à dépenser par habitude
Je pourrais prendre la clé des champs à chaque fois que ça me chante
Aller capturer des tornades ou même dresser des ouragans
Je pourrais vaincre les plus forts, dépasser les plus grands
Sans faire le moindre effort, faire s'arrêter le temps
Je pourrais bien plus encore, même porter une couronne
Mais que serais-je vraiment sans tout l'amour qu'on me donne?
Si j'avance avec plein de peurs
Non, la vie n'est pas qu'un bain de pleurs
Je plie, mais voilà que je résiste, pour que tu me vises d'une autre flèche en plein cœur
Il n'y a rien de pire que d'être seul
Le sort est une balle à tête creuse
Des fois, faut savoir l'éviter, aisé, quand on est touché, par mille flèches en plein cœur.
Mais que serais-je sans l'amour qu'on me donne?
Peut-être bad rappeur, un voyou des consonnes
Ah, ou alors un gars qui consomme
Tue la vie par les 2 bouts parce que les autres complotent
Dans mos dos, je boirais les océans
Hausser au-delà des monts, voler au-dessus des méandres
De grandes villes illuminées, culminerais
Fulminerais, finirais par éliminer
Ceux qui nous font de l'ombre, effaceraient toute leur aura
Si sombre, que j'ôterais toutes ces couleurs au rap
Je serais cette lettre nouvelle qui brise le moral
Comme la crise globale, triste oracle
De mes échecs je chargerais les sacs de mes frères
Prendrais le spectre pour être le king de mes paires
Ouais je pourrais porter cette couronne
Mais que serais-je vraiment sans tout l'amour qu'on me donne?
Si j'avance avec plein de peurs
Non, la vie n'est pas qu'un bain de pleurs
Je plie, mais voilà que je résiste, pour que tu me vises d'une autre flèche en plein cœur
Il n'y a rien de pire que d'être seul
Le sort est une balle à tête creuse
Des fois, faut savoir l'éviter, aisé, quand on est touché, par mille flèches en plein cœur
Credits
Writer(s): Philippe Tristan Fragione, Geoffroy Mussard, Pascal Perez, Eric Mazel
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