Nous n'aurons pas d'enfants
Voilà pourquoi nous n'aurons pas d'enfant
Voilà pourquoi nous n'aurons pas d'enfant
S'il doit vivre pour vivre et n'être qu'un passant
Et s'il n'est pas poète et s'il n'a pas d'argent,
Il risque de pleurer plus souvent qu'à son tour
Et de nous reprocher à jamais notre amour
Voilà pourquoi nous n'aurons pas d'enfant
Voilà pourquoi nous n'aurons pas d'enfant
Et puis, nous n'avons rien en plus de notre amour
Qu'une rue sans soleil et fenêtre sur cour
Si le coin le plus sombre est une chambre d'enfant,
Il grandira dans l'ombre à l'ombre des vivants
Voilà pourquoi nous n'aurons pas d'enfant
Voilà pourquoi nous n'aurons pas d'enfant
Et si un jour peut-être, nous écartant de tout,
Il devenait'sans cesse un prétexte entre nous,
Je ne saurais pas lui dire que je ne t'aime plus
Je ne saurais pas lui dire qu'il ne me verra plus
Voilà pourquoi nous n'aurons pas d'enfant
Voilà pourquoi nous n'aurons pas d'enfant
Ces mots, je les ai dits et répétés cent foi.
Ces mots, je les ai crus, j'avais peur quelquefois
Qu'il ne vole à jamais ce qui nous appartient
Mais quand l'enfant paraît, je crois qu'on l'aime bien.
Voilà pourquoi nous n'aurons pas d'enfant
S'il doit vivre pour vivre et n'être qu'un passant
Et s'il n'est pas poète et s'il n'a pas d'argent,
Il risque de pleurer plus souvent qu'à son tour
Et de nous reprocher à jamais notre amour
Voilà pourquoi nous n'aurons pas d'enfant
Voilà pourquoi nous n'aurons pas d'enfant
Et puis, nous n'avons rien en plus de notre amour
Qu'une rue sans soleil et fenêtre sur cour
Si le coin le plus sombre est une chambre d'enfant,
Il grandira dans l'ombre à l'ombre des vivants
Voilà pourquoi nous n'aurons pas d'enfant
Voilà pourquoi nous n'aurons pas d'enfant
Et si un jour peut-être, nous écartant de tout,
Il devenait'sans cesse un prétexte entre nous,
Je ne saurais pas lui dire que je ne t'aime plus
Je ne saurais pas lui dire qu'il ne me verra plus
Voilà pourquoi nous n'aurons pas d'enfant
Voilà pourquoi nous n'aurons pas d'enfant
Ces mots, je les ai dits et répétés cent foi.
Ces mots, je les ai crus, j'avais peur quelquefois
Qu'il ne vole à jamais ce qui nous appartient
Mais quand l'enfant paraît, je crois qu'on l'aime bien.
Credits
Writer(s): Jacques Revaux, Michel Charles Sardou
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