Regard impressionniste
Il y avait au jardin des bouquets de lumière
Le soleil traversait les couleurs du sous-bois
Au bord du bel étang un pêcher solitaire
S'endormait doucement, sa canne entre les bras
C'était un jour d'été, léger comme un dimanche
L'air était transparent sous le feuillage clair
Le bonheur était là, paisible, entre les branches
Et les reflets mouvants des arbres et des fougères
Le soleil inondait le bord de la rivière
Des couples enlacés dansaient sur le ponton
Près des tables encombrées de bouteilles et de verres
Des guirlandes accrochées croulaient sous les balcons
Une femme debout regardait quelque chose
Une lueur magique au fond de son regard
Son bras disparaissait sous un bouquet de roses
Elle était appuyée sur un divan bizarre
C'était au Grand Palais, sur des toiles de maîtres
Il y avait un Monet et deux ou trois Renoir
Le coeur dans les tableaux je me sentais renaître
Et en fermant les yeux je pourrais les revoir
Le monde a la beauté du regard qu'on y pose
Le jardin de Monet, le soleil de Renoir
Ne sont que le reflet de leur vision des choses
Dont chacun d'entre nous peut être le miroir
La vie nous peint les jours au hasard du voyage
En amour en douleur ou en mélancolie
C'est un peu de ce temps qu'on laisse en héritage
Enrichi du regard qu'on a posé sur lui.
Le soleil traversait les couleurs du sous-bois
Au bord du bel étang un pêcher solitaire
S'endormait doucement, sa canne entre les bras
C'était un jour d'été, léger comme un dimanche
L'air était transparent sous le feuillage clair
Le bonheur était là, paisible, entre les branches
Et les reflets mouvants des arbres et des fougères
Le soleil inondait le bord de la rivière
Des couples enlacés dansaient sur le ponton
Près des tables encombrées de bouteilles et de verres
Des guirlandes accrochées croulaient sous les balcons
Une femme debout regardait quelque chose
Une lueur magique au fond de son regard
Son bras disparaissait sous un bouquet de roses
Elle était appuyée sur un divan bizarre
C'était au Grand Palais, sur des toiles de maîtres
Il y avait un Monet et deux ou trois Renoir
Le coeur dans les tableaux je me sentais renaître
Et en fermant les yeux je pourrais les revoir
Le monde a la beauté du regard qu'on y pose
Le jardin de Monet, le soleil de Renoir
Ne sont que le reflet de leur vision des choses
Dont chacun d'entre nous peut être le miroir
La vie nous peint les jours au hasard du voyage
En amour en douleur ou en mélancolie
C'est un peu de ce temps qu'on laisse en héritage
Enrichi du regard qu'on a posé sur lui.
Credits
Writer(s): Yves Duteil
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