Paris
Dans les années 60
avec mes valses lentes
mon filet de voix et mon papa
je débarquais gare du nord
dans un drôle de décor
tel que je ne l'imaginais pas
c'était pas le gai de paris
c'était froid, c'était gris
y avait des crs partout
on parlait d'algérie
nous n'avions qu'une envie
retourner au plus vite chez nous
ma guitare dans l'étui
faisait comme un fusil
on nous fouillait tous les dix pas
on vient pour le concours
ma petite chanson d'amour
vous voulez que vous la chante ou pas
et voilà que paris qui me sourit
qui me tend les bras
j'en étais tout ébloui
j'y croyais pas
et quand paris applaudi
Ça vous prend là
dans le noir, je vois deux yeux qui brillent
ceux de mon papa
c'était paris pantin
st-denis et st-ouen
c'était pas encore l'olympia
mais j'en étais pas loin
fallait prendre le bon train
fallait le laisser faire, mon papa
car là où il passait
toutes les portes s'ouvraient
le sourire d'un mot, d'un regard
chez les impresarii
on ne parlait plus que de lui
croyez-moi, c'était lui la star
moi j'avais dix-sept ans
tous mes bons sentiments
et le meilleur de ma vie
devant moi
comme un petit garçon
j'apprenais mes leçons
j'écoutais parler mon papa
et voilà paris qui me sourit
qui me tend les bras
j'en étais tout ébloui
j'y croyais pas
et nous voici aujourd'hui
trente ans déjà
je me sens toujours aussi petit
mais c'est sympa
je me sens toujours aussi petit
merci papa
avec mes valses lentes
mon filet de voix et mon papa
je débarquais gare du nord
dans un drôle de décor
tel que je ne l'imaginais pas
c'était pas le gai de paris
c'était froid, c'était gris
y avait des crs partout
on parlait d'algérie
nous n'avions qu'une envie
retourner au plus vite chez nous
ma guitare dans l'étui
faisait comme un fusil
on nous fouillait tous les dix pas
on vient pour le concours
ma petite chanson d'amour
vous voulez que vous la chante ou pas
et voilà que paris qui me sourit
qui me tend les bras
j'en étais tout ébloui
j'y croyais pas
et quand paris applaudi
Ça vous prend là
dans le noir, je vois deux yeux qui brillent
ceux de mon papa
c'était paris pantin
st-denis et st-ouen
c'était pas encore l'olympia
mais j'en étais pas loin
fallait prendre le bon train
fallait le laisser faire, mon papa
car là où il passait
toutes les portes s'ouvraient
le sourire d'un mot, d'un regard
chez les impresarii
on ne parlait plus que de lui
croyez-moi, c'était lui la star
moi j'avais dix-sept ans
tous mes bons sentiments
et le meilleur de ma vie
devant moi
comme un petit garçon
j'apprenais mes leçons
j'écoutais parler mon papa
et voilà paris qui me sourit
qui me tend les bras
j'en étais tout ébloui
j'y croyais pas
et nous voici aujourd'hui
trente ans déjà
je me sens toujours aussi petit
mais c'est sympa
je me sens toujours aussi petit
merci papa
Credits
Writer(s): Daniele Principato
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
Other Album Tracks
© 2024 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.