Les Heures Bleues
J'entends souvent la douce musique
L'écho lointain d'un bal de quartier
Au temps des valses et tangos magiques
Qui nous berçaient, l'été retrouvé
C'est la musique du temps qui passe
En noir et blanc, en accéléré
Des petits riens que l'oubli menace
Calendrier trop vite effeuillé
Et je revois mon père, ma mère
Sous les lampions, les fleurs en papier
Moi, je suivais sa robe claire
Qui ondoyait comme un blanc voilier
Lui l'enlaçait, l'allure fière
Tout droit, fringant, tout endimanché
Il racontait de jolie manière
Des souvenirs sans doute inventés
Moi, je rêvais entre vous deux
J'étais enfant, j'étais heureux
Et je n'ai qu'à fermer les yeux
Pour retrouver ces heures bleues
Bleu de tes yeux, ma douce marraine
Qui me cachais le gris du décor
Bleu de l'espoir, vaillant capitaine
Qui te battais dans l'enfer du Nord
Bleu du dimanche entre compères
Pour oublier quelques instants
Le noir du ventre de la Terre
Où vous trimiez en sueur et en sang
C'est la musique des années-chimère
Années-misère au bout de l'exil
Moi, je suivais dans votre lumière
Ma vie ne tenait qu'à votre fil
Ti voglio bene veut dire je t'aime
Et c'était là toute mon Italie
Cent fois par jour et mille fois, même,
C'était du soleil sur ma vie
Moi, je rêvais entre vous deux
J'étais enfant, j'étais heureux
Et je n'ai qu'à fermer les yeux
Pour retrouver ces heures bleues
Et je n'ai qu'à fermer les yeux
Pour retrouver ces heures bleues
L'écho lointain d'un bal de quartier
Au temps des valses et tangos magiques
Qui nous berçaient, l'été retrouvé
C'est la musique du temps qui passe
En noir et blanc, en accéléré
Des petits riens que l'oubli menace
Calendrier trop vite effeuillé
Et je revois mon père, ma mère
Sous les lampions, les fleurs en papier
Moi, je suivais sa robe claire
Qui ondoyait comme un blanc voilier
Lui l'enlaçait, l'allure fière
Tout droit, fringant, tout endimanché
Il racontait de jolie manière
Des souvenirs sans doute inventés
Moi, je rêvais entre vous deux
J'étais enfant, j'étais heureux
Et je n'ai qu'à fermer les yeux
Pour retrouver ces heures bleues
Bleu de tes yeux, ma douce marraine
Qui me cachais le gris du décor
Bleu de l'espoir, vaillant capitaine
Qui te battais dans l'enfer du Nord
Bleu du dimanche entre compères
Pour oublier quelques instants
Le noir du ventre de la Terre
Où vous trimiez en sueur et en sang
C'est la musique des années-chimère
Années-misère au bout de l'exil
Moi, je suivais dans votre lumière
Ma vie ne tenait qu'à votre fil
Ti voglio bene veut dire je t'aime
Et c'était là toute mon Italie
Cent fois par jour et mille fois, même,
C'était du soleil sur ma vie
Moi, je rêvais entre vous deux
J'étais enfant, j'étais heureux
Et je n'ai qu'à fermer les yeux
Pour retrouver ces heures bleues
Et je n'ai qu'à fermer les yeux
Pour retrouver ces heures bleues
Credits
Writer(s): Salvatore Adamo
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
© 2024 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.