Tu tires
Je vais aux supplices
D'une histoire factice
Et, là, je me glisse
Dans ta ligne de mire
Je garde mon sang froid
Et, j'entends ta voix
Incompréhensible - A bout portant...
Tu tires... Tu tires...
Je veux m'échapper
Mais tu tires dans l'eau
Pour m'éclabousser
De larmes et je pleure
Un parfum hostile
M'est tombé dessus
L'air est immobile - Et ça empire...
Tu tires... Tu tires...
Il est 20h10. Tu as décidé
Qu'il faut effacer, l'idée d'un futur
Tourmenté de mots, le son de ta voix
Est intraduisible... Trop de douleurs...
Tu tires... Tu tires...
Tu es mon ennemi
Tu parles en ami
L'Enfer est bien né
Oh! Mon bien aimé
C'est la dernière heure
Un moment de trop
Un jour de douleur - Tu m'assassines...
Tu tires... Tu tires... Tu tires...
Tu tires...
Tout le corps - en - vertige
Tout devient - i - nutile
... peux plus - marcher - et je vais
m'évanouir
Tu tires... Tu tires... Tu tires...
Il fait presque froid et je réalise que
Toucher ta main m'est interdit
Comme un haut parleur aux débits abstraits
Ta voix menaçante, manipule... Tu tires...
D'une histoire finie
On sent les prémices
Et, je me reglisse
Dans ta ligne de mire
Mon coeur est ta cible
Je suis si sensible
Je suis si fragile
Ainsi soit-il... Tu tires... oui, ainsi soit-il...
Tu tires... Tu tires...
D'une histoire factice
Et, là, je me glisse
Dans ta ligne de mire
Je garde mon sang froid
Et, j'entends ta voix
Incompréhensible - A bout portant...
Tu tires... Tu tires...
Je veux m'échapper
Mais tu tires dans l'eau
Pour m'éclabousser
De larmes et je pleure
Un parfum hostile
M'est tombé dessus
L'air est immobile - Et ça empire...
Tu tires... Tu tires...
Il est 20h10. Tu as décidé
Qu'il faut effacer, l'idée d'un futur
Tourmenté de mots, le son de ta voix
Est intraduisible... Trop de douleurs...
Tu tires... Tu tires...
Tu es mon ennemi
Tu parles en ami
L'Enfer est bien né
Oh! Mon bien aimé
C'est la dernière heure
Un moment de trop
Un jour de douleur - Tu m'assassines...
Tu tires... Tu tires... Tu tires...
Tu tires...
Tout le corps - en - vertige
Tout devient - i - nutile
... peux plus - marcher - et je vais
m'évanouir
Tu tires... Tu tires... Tu tires...
Il fait presque froid et je réalise que
Toucher ta main m'est interdit
Comme un haut parleur aux débits abstraits
Ta voix menaçante, manipule... Tu tires...
D'une histoire finie
On sent les prémices
Et, je me reglisse
Dans ta ligne de mire
Mon coeur est ta cible
Je suis si sensible
Je suis si fragile
Ainsi soit-il... Tu tires... oui, ainsi soit-il...
Tu tires... Tu tires...
Credits
Writer(s): Christophe Christian Ghislain Rase, Patti Guesch
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