Celui qui a mal tourné
(Reprise d'une chanson de Georges Brassens)
Il y avait des temps et des temps
Qu'je n'm'étais pas servi d'mes dents
Qu'je n'mettais pas d'vin dans mon eau
Ni de charbon dans mon fourneau
Tous les croque-morts silencieux
Me dévoraient déjà des yeux
Ma dernière heure allait sonner
C'est alors que j'ai mal tourné
N'y allant pas par quatre chemins
J'estourbis en un tournemain
En un coup de bûche excessif
Un noctambule en or massif
Les chats fourrés quand ils l'ont su
M'ont posé la patte dessus
Pour m'envoyer à la Santé
Me refaire une honnêteté
Machin chose un tel une telle
Tous ceux du commun des mortels
Furent d'avis que j'aurais dû
En bonne justice être pendu
À la lanterne et sur-le-champ
Y s'voyaient déjà partageant
Ma corde en tout bien tout honneur
En guise de porte-bonheur
Au bout d'un siècle on m'a jeté
À la porte de la Santé
Comme je suis sentimental
Je retourne au quartier natal
Baissant le nez rasant les murs
Mal à l'aise sur mes fémurs
M'attendant à voir les humains
Se détourner de mon chemin
Y'en a un qui m'a dit salut
Te revoir on n'y comptait plus
Y'en a un qui m'a demandé
Des nouvelles de ma santé
Lors j'ai vu qu'il restait encore
Du monde et du beau monde sur Terre
Et j'ai pleuré le cul par terre
Toutes les larmes de mon corps
Et j'ai pleuré le cul par terre
Toutes les larmes de mon corps
Il y avait des temps et des temps
Qu'je n'm'étais pas servi d'mes dents
Qu'je n'mettais pas d'vin dans mon eau
Ni de charbon dans mon fourneau
Tous les croque-morts silencieux
Me dévoraient déjà des yeux
Ma dernière heure allait sonner
C'est alors que j'ai mal tourné
N'y allant pas par quatre chemins
J'estourbis en un tournemain
En un coup de bûche excessif
Un noctambule en or massif
Les chats fourrés quand ils l'ont su
M'ont posé la patte dessus
Pour m'envoyer à la Santé
Me refaire une honnêteté
Machin chose un tel une telle
Tous ceux du commun des mortels
Furent d'avis que j'aurais dû
En bonne justice être pendu
À la lanterne et sur-le-champ
Y s'voyaient déjà partageant
Ma corde en tout bien tout honneur
En guise de porte-bonheur
Au bout d'un siècle on m'a jeté
À la porte de la Santé
Comme je suis sentimental
Je retourne au quartier natal
Baissant le nez rasant les murs
Mal à l'aise sur mes fémurs
M'attendant à voir les humains
Se détourner de mon chemin
Y'en a un qui m'a dit salut
Te revoir on n'y comptait plus
Y'en a un qui m'a demandé
Des nouvelles de ma santé
Lors j'ai vu qu'il restait encore
Du monde et du beau monde sur Terre
Et j'ai pleuré le cul par terre
Toutes les larmes de mon corps
Et j'ai pleuré le cul par terre
Toutes les larmes de mon corps
Credits
Writer(s): Georges Charles Brassens
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
© 2025 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.