L'Image de Toi
Elle me colle à la peau, elle est là, toutes les nuits
Plus fidèle que mon ombre, l'image de toi me suit
Ta nuque, ton port de tête, tes cheveux, ton odeur
Le moindre petit pli, je revois tout par cœur
Et plus je me souviens, plus je me remémore
Et plus je me réveille, et moins je me rendors
Poursuivi par tes yeux, hanté par ton regard
Ton sourire, je le vois, il est là, dans le noir
Le souvenir de toi fait grandir ton absence
Et, les deux poings serrés, je t'appelle en silence
Je voudrais t'oublier, sortir de ton sillage
J'ai beau tourner la tête, je subis le mirage
Au plus noir de la nuit, dans un long crescendo
Défilent au plafond des milliers de diapos
La cambrure de tes reins, tes chevilles, tes poignets
Tout toi, plus magnifique, plus femelle que jamais
Plus t'es loin, plus t'es là, plus ça va, plus t'es belle
Stoppez la projection, la séance est cruelle
Ce duvet, ces ridules, cette tache de rousseur
Je suis persécuté par un film en couleur
Le moindre effluve de toi me flanque une secousse
Je cours dans un tunnel, ton parfum à mes trousses
Et pour ne plus te voir, je rallume la lumière
Je cogne mon oreiller et je fais des prières
Pour qu'enfin tu reviennes, dans le noir, avec moi
Ton souffle dans mon cou, t'endormir dans mes bras
Plus fidèle que mon ombre, l'image de toi me suit
Ta nuque, ton port de tête, tes cheveux, ton odeur
Le moindre petit pli, je revois tout par cœur
Et plus je me souviens, plus je me remémore
Et plus je me réveille, et moins je me rendors
Poursuivi par tes yeux, hanté par ton regard
Ton sourire, je le vois, il est là, dans le noir
Le souvenir de toi fait grandir ton absence
Et, les deux poings serrés, je t'appelle en silence
Je voudrais t'oublier, sortir de ton sillage
J'ai beau tourner la tête, je subis le mirage
Au plus noir de la nuit, dans un long crescendo
Défilent au plafond des milliers de diapos
La cambrure de tes reins, tes chevilles, tes poignets
Tout toi, plus magnifique, plus femelle que jamais
Plus t'es loin, plus t'es là, plus ça va, plus t'es belle
Stoppez la projection, la séance est cruelle
Ce duvet, ces ridules, cette tache de rousseur
Je suis persécuté par un film en couleur
Le moindre effluve de toi me flanque une secousse
Je cours dans un tunnel, ton parfum à mes trousses
Et pour ne plus te voir, je rallume la lumière
Je cogne mon oreiller et je fais des prières
Pour qu'enfin tu reviennes, dans le noir, avec moi
Ton souffle dans mon cou, t'endormir dans mes bras
Credits
Writer(s): Richard Gotainer, Michael Lapie
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
© 2024 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.