Go go go
Je suis en cavale
Et le soleil me brûle la peau,
Je pleure mes amis d'infortune
Ayant laissé leurs vies au combat.
Je me perds mais j'ai l'espoir de refaire
A neuf ma vie un jour où la terre est bonne,
Le ciel clément et ton cur près de moi
De temps en temps.
Le sable fouette mon visage,
Un vent tiède me pousse vers le nord
Où rien ni personne ne m'attends,
Solitaire errant depuis la nuit des temps.
Je marche jusqu'à la frontière,
Et le soleil me brûle la peau,
Je perds mon souffle la mort me guette,
Les vautours tournoient derrière mon dos.
Go go go go go
En el camino go
Go go go go go
En el camino
J'entends les serpents qui sifflent
Et tout qui s'affole autour de moi,
La vision trouble, les mirages en pagaille,
Les rafales d'un vent sec qui écorche le visage.
Les vautours affamés attendent ma débâcle,
Que je tombe, que je tombe je les entends penser
A un festin du genre qu'on en reprendrait bien,
A un de ces festins dont on se souvient
Go go go go go
En el camino go
Go go go go go
En el camino
Mais j'aperçois au loin la frontière qui avance,
J'aperçois au loin la frontière qui avance,
Est ce une vision de plus ou la fin de mon voyage,
Une vision de plus ou la fin de mon voyage.
Go go go go go
En el camino go
Go go go go go
En el camino
Go go go go go
En el camino go
Go go go go go
En el camino
Et le soleil me brûle la peau,
Je pleure mes amis d'infortune
Ayant laissé leurs vies au combat.
Je me perds mais j'ai l'espoir de refaire
A neuf ma vie un jour où la terre est bonne,
Le ciel clément et ton cur près de moi
De temps en temps.
Le sable fouette mon visage,
Un vent tiède me pousse vers le nord
Où rien ni personne ne m'attends,
Solitaire errant depuis la nuit des temps.
Je marche jusqu'à la frontière,
Et le soleil me brûle la peau,
Je perds mon souffle la mort me guette,
Les vautours tournoient derrière mon dos.
Go go go go go
En el camino go
Go go go go go
En el camino
J'entends les serpents qui sifflent
Et tout qui s'affole autour de moi,
La vision trouble, les mirages en pagaille,
Les rafales d'un vent sec qui écorche le visage.
Les vautours affamés attendent ma débâcle,
Que je tombe, que je tombe je les entends penser
A un festin du genre qu'on en reprendrait bien,
A un de ces festins dont on se souvient
Go go go go go
En el camino go
Go go go go go
En el camino
Mais j'aperçois au loin la frontière qui avance,
J'aperçois au loin la frontière qui avance,
Est ce une vision de plus ou la fin de mon voyage,
Une vision de plus ou la fin de mon voyage.
Go go go go go
En el camino go
Go go go go go
En el camino
Go go go go go
En el camino go
Go go go go go
En el camino
Credits
Writer(s): Amy Elizabeth Ray
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