Elle fait mes rides
Elle ne dit rien,
Elle frôle ma vie,
Au dos d'un parchemin.
Deux petits seins pointus qui rêvent de me crever la main,
Dans ses yeux c'est la guerre du feu et son corps aquarelle,
Oublié un soir à la secousse sur les parois ruisellent.
Elle donne son âme, son coeur à ma science, fruit de mon imaginaire.
Elle est la femme, césame, la semence, l'origine de l'univers.
Trois pas de tango, cambrée d'amour, orchidée sur la baignoire,
Elle m'aide à jouir mais c'est rien de le dire.
Elle fait mes rides, elle est mon lac.
Les jours suicides, un semblant d'amalgame.
Et j'hallucine au grè du vent qui passe,
Elle me zibline les nuits où l'âme, Hélas,
L'âme, hélas.
Elle a sous les doigts programmé toutes les caresses du diables.
Un sourire pyromane a calciné les étoiles,
Et l'enfant cherche lune vierge pour faire dessins dessus.
Je la croque mais elle tatoue un Ange sur ma peau nue.
Elle est à Dieu ce que l'homme est au songe,
Elle fait l'amour, elle écoppe, elle éponge tout l'excès d'or de ma sève,
Et sous le carreau,
Buée d'amour,
Orchidée sur la baignoire.
Elle m'aide à souffrir et c'est rien de le dire.
Elle fait mes rides, elle est mon lac,
Les jours suicides, un semblant d'amalgame.
Et j'hallucine au grè du vent qui passe,
Elle me zibline les nuits où l'âme, Hélas.
Elle fait mes rides,
Elle fait mes rêves,
Elle phénomène,
Et doucement m'achève.
Plus abusée de mon âme amusée,
Elle me gignole l'espace d'un baiser.
Plus amusée de mon âme abusée.
Elle me gignole l'espace d'un baiser ...
Un baiser.
Elle frôle ma vie,
Au dos d'un parchemin.
Deux petits seins pointus qui rêvent de me crever la main,
Dans ses yeux c'est la guerre du feu et son corps aquarelle,
Oublié un soir à la secousse sur les parois ruisellent.
Elle donne son âme, son coeur à ma science, fruit de mon imaginaire.
Elle est la femme, césame, la semence, l'origine de l'univers.
Trois pas de tango, cambrée d'amour, orchidée sur la baignoire,
Elle m'aide à jouir mais c'est rien de le dire.
Elle fait mes rides, elle est mon lac.
Les jours suicides, un semblant d'amalgame.
Et j'hallucine au grè du vent qui passe,
Elle me zibline les nuits où l'âme, Hélas,
L'âme, hélas.
Elle a sous les doigts programmé toutes les caresses du diables.
Un sourire pyromane a calciné les étoiles,
Et l'enfant cherche lune vierge pour faire dessins dessus.
Je la croque mais elle tatoue un Ange sur ma peau nue.
Elle est à Dieu ce que l'homme est au songe,
Elle fait l'amour, elle écoppe, elle éponge tout l'excès d'or de ma sève,
Et sous le carreau,
Buée d'amour,
Orchidée sur la baignoire.
Elle m'aide à souffrir et c'est rien de le dire.
Elle fait mes rides, elle est mon lac,
Les jours suicides, un semblant d'amalgame.
Et j'hallucine au grè du vent qui passe,
Elle me zibline les nuits où l'âme, Hélas.
Elle fait mes rides,
Elle fait mes rêves,
Elle phénomène,
Et doucement m'achève.
Plus abusée de mon âme amusée,
Elle me gignole l'espace d'un baiser.
Plus amusée de mon âme abusée.
Elle me gignole l'espace d'un baiser ...
Un baiser.
Credits
Writer(s): Christian Jacques Decamps
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