L'homme dont les bras sont des branches
Sa silhouette apparaît
En haut de la falaise
Aux heures de ciel de braise
Le long de l'océan
Il trace son sillon comme un vieux condamné
Il ne dit pas de mots, tout devient sa pensée
Quand il pleure, c'est l'averse
Quand il rit, c'est les fleurs
Il dit que chaque jour il change deux fois de monde
C'est sa forme d'amour
Son cœur s'enivre encore du simple fait de vivre
Et son œil s'émerveille de l'aube qui arrive
Rien qui mérite qu'on s'y arrête
Et l'homme dont les bras sont des branches
Lorsqu'il retrousse ses manches
S'élève alors à l'horizon la cinquième saison
La cinquième saison
Il dit que sous le soc de sa charrue il sent
Que le sol est plus sec les cailloux plus cassants
Est-ce que c'est le bitume
Sur la peau de la terre
Des plaques d'amertume
Ou des gouttes de sang
Il pense qu'elle pleure en silence
Il montre l'océan
Il dit qu'il y a peut-être
Une erreur à vouloir toujours plus de paraître
Puis il repart imperturbablement
Il dit ça fait du bien d'avoir vu un vivant
Ça lui arrive moins qu'avant
Et l'homme dont les bras sont des branches
Lorsqu'il retrousse ses manches
Le laid se cache
La mort se couche
La mer se penche
Les pôles se touchent
Et monte alors à l'horizon
La cinquième saison
La cinquième saison
En haut de la falaise
Aux heures de ciel de braise
Le long de l'océan
Il trace son sillon comme un vieux condamné
Il ne dit pas de mots, tout devient sa pensée
Quand il pleure, c'est l'averse
Quand il rit, c'est les fleurs
Il dit que chaque jour il change deux fois de monde
C'est sa forme d'amour
Son cœur s'enivre encore du simple fait de vivre
Et son œil s'émerveille de l'aube qui arrive
Rien qui mérite qu'on s'y arrête
Et l'homme dont les bras sont des branches
Lorsqu'il retrousse ses manches
S'élève alors à l'horizon la cinquième saison
La cinquième saison
Il dit que sous le soc de sa charrue il sent
Que le sol est plus sec les cailloux plus cassants
Est-ce que c'est le bitume
Sur la peau de la terre
Des plaques d'amertume
Ou des gouttes de sang
Il pense qu'elle pleure en silence
Il montre l'océan
Il dit qu'il y a peut-être
Une erreur à vouloir toujours plus de paraître
Puis il repart imperturbablement
Il dit ça fait du bien d'avoir vu un vivant
Ça lui arrive moins qu'avant
Et l'homme dont les bras sont des branches
Lorsqu'il retrousse ses manches
Le laid se cache
La mort se couche
La mer se penche
Les pôles se touchent
Et monte alors à l'horizon
La cinquième saison
La cinquième saison
Credits
Writer(s): Jean-jacques Daran, Pierre-yves Lebert
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