Et pourtant
Et pourtant
Quand tous mes tourments,
Se fondent face au vent,
Et quand mes rancoeurs,
Ne sont qu'infortunes.
Quand toutes mes fêlures,
Ne sont que luxures,
Simples points de sutures,
Tendus jusqu'à l'usure.
Et pourtant,
Je sais que tu n'es plus moi,
Mes larmes sont sans aucun gout,
Ce mal nous laisse la,
Presque à genoux.
Et pourtant,
Je sais que ton regard vide,
Ne laisse plus aucun espoir,
Ce mal nous rend livide,
Presque sans histoire.
Quand les mots ont froissés,
L'âme comme du papier,
Le cœur s'est abimé,
Le corps s'est fatigué.
Quand les jours et les nuits,
Hantés par la folie,
De ces morceaux de vie,
Deviennent des heures sans vie.
Quand l'aube est sans écho,
Pale reflet de mes maux,
Et laisse sur ma peau,
L'ombre de mes défauts.
Quand frêle et dérisoire,
Se dessine un espoir,
Je le fuis dans le noir,
La peur de décevoir.
Et pourtant,
Je sais que tu es moi,
Je sais que l'on est nous,
Qu'on a tout laissé la,
Derrière nous.
Et pourtant,
Je sais qu'il y a quelque part,
Encore des braises d'espoir,
D'enfermer dans le noir,
Le mal de notre histoire.
Même si l'ivresse des sens,
Mène parfois la danse,
Que mon corps balance,
Entre raison et démence.
Même si des mains me touchent,
Des corps s'offre à ma couche,
Même si sur ma bouche,
Se posent d'autres bouches.
Même si ma mémoire t'oublie,
Le temps d'une autre envie,
Vestiges de torrides nuits,
D'où je me maudis.
Pont
Et pourtant,
Je sais que tu n'es plus moi,
Mes larmes n'ont plus aucun gout,
Ce mal nous laisse là,
Presque à genoux.
Et pourtant,
Je sais que ton regard vide,
Ne laisse plus aucun espoir,
Ce mal nous a laissé livide,
Presque sans histoire.
Quand tout redevient glace,
Que tout reprend sa place,
Que mon seul espace,
Est de trouver ta place.
Quand tout redevient gris,
Que reviennent ces nuits,
A se glacer d'ennui,
Sans toi dans mon lit.
Quand mes yeux cherchent encore,
Au fond de ce décor,
Un morceau de ton corps;
Sans l'idée de la mort.
Quand je ne peux plus être,
Je ne veux plus renaitre,
Je veux disparaitre,
Au fond de ma détresse.
Quand je dessine ta peau,
Comme on peint un tableau,
Juste avec mes mots,
Pour retrouver ton écho.
Quand tous nos souvenirs,
Me font encore sourire,
Que tes éclats de rire,
Enflamment mon désir.
Quand comme une évidence,
Je ressens ton absence
Je vis ma pénitence,
Je me terre dans le silence.
Quand j'ai choisi l'oubli,
Pour rester en vie,
Sans toi je poursuis,
Ce chemin sans un cri...
Et pourtant...
Quand tous mes tourments,
Se fondent face au vent,
Et quand mes rancoeurs,
Ne sont qu'infortunes.
Quand toutes mes fêlures,
Ne sont que luxures,
Simples points de sutures,
Tendus jusqu'à l'usure.
Et pourtant,
Je sais que tu n'es plus moi,
Mes larmes sont sans aucun gout,
Ce mal nous laisse la,
Presque à genoux.
Et pourtant,
Je sais que ton regard vide,
Ne laisse plus aucun espoir,
Ce mal nous rend livide,
Presque sans histoire.
Quand les mots ont froissés,
L'âme comme du papier,
Le cœur s'est abimé,
Le corps s'est fatigué.
Quand les jours et les nuits,
Hantés par la folie,
De ces morceaux de vie,
Deviennent des heures sans vie.
Quand l'aube est sans écho,
Pale reflet de mes maux,
Et laisse sur ma peau,
L'ombre de mes défauts.
Quand frêle et dérisoire,
Se dessine un espoir,
Je le fuis dans le noir,
La peur de décevoir.
Et pourtant,
Je sais que tu es moi,
Je sais que l'on est nous,
Qu'on a tout laissé la,
Derrière nous.
Et pourtant,
Je sais qu'il y a quelque part,
Encore des braises d'espoir,
D'enfermer dans le noir,
Le mal de notre histoire.
Même si l'ivresse des sens,
Mène parfois la danse,
Que mon corps balance,
Entre raison et démence.
Même si des mains me touchent,
Des corps s'offre à ma couche,
Même si sur ma bouche,
Se posent d'autres bouches.
Même si ma mémoire t'oublie,
Le temps d'une autre envie,
Vestiges de torrides nuits,
D'où je me maudis.
Pont
Et pourtant,
Je sais que tu n'es plus moi,
Mes larmes n'ont plus aucun gout,
Ce mal nous laisse là,
Presque à genoux.
Et pourtant,
Je sais que ton regard vide,
Ne laisse plus aucun espoir,
Ce mal nous a laissé livide,
Presque sans histoire.
Quand tout redevient glace,
Que tout reprend sa place,
Que mon seul espace,
Est de trouver ta place.
Quand tout redevient gris,
Que reviennent ces nuits,
A se glacer d'ennui,
Sans toi dans mon lit.
Quand mes yeux cherchent encore,
Au fond de ce décor,
Un morceau de ton corps;
Sans l'idée de la mort.
Quand je ne peux plus être,
Je ne veux plus renaitre,
Je veux disparaitre,
Au fond de ma détresse.
Quand je dessine ta peau,
Comme on peint un tableau,
Juste avec mes mots,
Pour retrouver ton écho.
Quand tous nos souvenirs,
Me font encore sourire,
Que tes éclats de rire,
Enflamment mon désir.
Quand comme une évidence,
Je ressens ton absence
Je vis ma pénitence,
Je me terre dans le silence.
Quand j'ai choisi l'oubli,
Pour rester en vie,
Sans toi je poursuis,
Ce chemin sans un cri...
Et pourtant...
Credits
Writer(s): Patricia Randouillet, Christophe Dubois
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
© 2024 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.