La madrague

Sur la plage abondonnée coquillage et crurstacés
qui l'eût crus déplorent la perte de l'été
qui depuis s'en est allé
on a rangé les vacances
dans des valises en carton
et c'est triste quand on pense à la saison
du soleil et des chansons
pourtant je sais bien l'année prochaine
tout refleurira nous reviendrons
mais en attendant je suis en peine
de quitter la mer et ma maison
le mistral va s'habituer
a courir sans les voiliers
et c'est dans ma chevelure ébouriffeé
qu'il va plus me manquer
le soleil mon grand copain
ne me brulera que de loin
croyant que nous sommes ensemble un peu fâchés
d'être tous deux separés
le train m'emmènera vers l'automne retrouver la ville sous la pluis
mon chagrin ne sera pour personne
je le garderai comme un ami
mais aux premiers jours d'été
tous les ennuis oubliés
nous reviendrons faire la fête aux crustacés de la plage ensoleillée
de la plage ensoleillée
de la plage ensoleillée



Credits
Writer(s): Jean Max Riviere, Gerard Robert Edouard Bourgeois
Lyrics powered by www.musixmatch.com

Link