Enfin tu me viendras
Enfin, tu me viendras avec tes sortilèges
Et ta beauté nocturne, et tes grands yeux profonds
Ton visage me fera revenir en arrière
Dans le temps où j'avais encore des illusions
Enfin, tu me viendras comme d'un long voyage
Et l'aube, en un instant, deviendra crépuscule
Tout le ciel s'emplira de rires et d'orages
Je tomberai de haut, je ne t'attendais plus
Je te cherche partout, ô mon double soleil
À travers mes maîtresses, à travers tes amants
Dis, réussirons-nous à nous rejoindre à temps
En conservant la fleur de l'émotion première?
Enfin, tu me viendras, il faut que tu me viennes
Viens aliéner mes jours, voler ma liberté
Ô toi mon cygne noir, ma fiévreuse sirène
Viens rompre les amarres des amours suicidées
Enfin, tu me viendras et je vivrai tranquille
Et je pourrai dormir, et rêver, et t'aimer
Sans avoir le regret des regrets inutiles
De toujours te chercher sans te trouver jamais
Le bonheur, c'est à peine gros comme un dé à coudre
Viens, nous le cacherons tout là-haut sous mon toit
Et qu'au clair de ta chair, je puisse enfin recoudre
Ces morceaux de ce coeur, déchiré ça et là
Enfin, tu me viendras avec tes sortilèges
Et ta beauté nocturne, et tes grands yeux profonds
Ton visage me fera revenir en arrière
Dans le temps où j'avais encore des illusions
Et ta beauté nocturne, et tes grands yeux profonds
Ton visage me fera revenir en arrière
Dans le temps où j'avais encore des illusions
Enfin, tu me viendras comme d'un long voyage
Et l'aube, en un instant, deviendra crépuscule
Tout le ciel s'emplira de rires et d'orages
Je tomberai de haut, je ne t'attendais plus
Je te cherche partout, ô mon double soleil
À travers mes maîtresses, à travers tes amants
Dis, réussirons-nous à nous rejoindre à temps
En conservant la fleur de l'émotion première?
Enfin, tu me viendras, il faut que tu me viennes
Viens aliéner mes jours, voler ma liberté
Ô toi mon cygne noir, ma fiévreuse sirène
Viens rompre les amarres des amours suicidées
Enfin, tu me viendras et je vivrai tranquille
Et je pourrai dormir, et rêver, et t'aimer
Sans avoir le regret des regrets inutiles
De toujours te chercher sans te trouver jamais
Le bonheur, c'est à peine gros comme un dé à coudre
Viens, nous le cacherons tout là-haut sous mon toit
Et qu'au clair de ta chair, je puisse enfin recoudre
Ces morceaux de ce coeur, déchiré ça et là
Enfin, tu me viendras avec tes sortilèges
Et ta beauté nocturne, et tes grands yeux profonds
Ton visage me fera revenir en arrière
Dans le temps où j'avais encore des illusions
Credits
Writer(s): Marcel Mouloudji, Christiane Suzanne Reine Kauffmann
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