J'existe
Je n'écoute plus les nouvelles
J'ai pas vidé les cendriers
J'ai mis ma robe de dentelle
Pour dormir dans l'escalier
Prêt de mon chien qui m'rappelle
Que t'es son meilleur ami
Chaque fois qui va dans ruelle
Pleurer en cachette lui aussi
Ton coat de cuir traîne sur le sofa
On dirait qui garde ta place
J'ai toujours plein d'amour au froid
J'ai mis mon cœur sa glace
Je vis à la fenêtre
Mais, je n'suis jamais triste
Ce n'est pas fini
À moins que j'perdre la tête à soir, peut-être
Tu t'souviendras que j'existe, que j'existe
Dis-moi que tu reviens bientôt
Que c'est toi qui tourne le coin
J'passe mes nuits au piano
En versant mon verre de vin
J'ai gardé toutes tes affaires
À croire que t'es jamais parti
T'as oublié tes clés sur le comptoir
Et ton parfum dans mon lit
Ton coat de cuir traîne sur le sofa
On dirait qui garde ta place
J'ai toujours plein d'amour au froid
J'ai mis mon cœur sa glace
Je vis à la fenêtre
Mais, je n'suis jamais triste
Ce n'est pas fini
À moins que j'perdre la tête à soir, peut-être
Tu t'souviendras que j'existe, que j'existe
Que j'existe
Mes avions de papier s'envolent
Mais, retombent vite au sol
Trop lourds pour porter le silence
D'une si longue absence
Je vis à la fenêtre
Je ne suis jamais triste
Ce n'est pas fini
À moins que j'perdre la tête
Tu t'souviendras que j'existe
À mois que je n'en finisse, que j'existe
Que j'existe
J'ai pas vidé les cendriers
J'ai mis ma robe de dentelle
Pour dormir dans l'escalier
Prêt de mon chien qui m'rappelle
Que t'es son meilleur ami
Chaque fois qui va dans ruelle
Pleurer en cachette lui aussi
Ton coat de cuir traîne sur le sofa
On dirait qui garde ta place
J'ai toujours plein d'amour au froid
J'ai mis mon cœur sa glace
Je vis à la fenêtre
Mais, je n'suis jamais triste
Ce n'est pas fini
À moins que j'perdre la tête à soir, peut-être
Tu t'souviendras que j'existe, que j'existe
Dis-moi que tu reviens bientôt
Que c'est toi qui tourne le coin
J'passe mes nuits au piano
En versant mon verre de vin
J'ai gardé toutes tes affaires
À croire que t'es jamais parti
T'as oublié tes clés sur le comptoir
Et ton parfum dans mon lit
Ton coat de cuir traîne sur le sofa
On dirait qui garde ta place
J'ai toujours plein d'amour au froid
J'ai mis mon cœur sa glace
Je vis à la fenêtre
Mais, je n'suis jamais triste
Ce n'est pas fini
À moins que j'perdre la tête à soir, peut-être
Tu t'souviendras que j'existe, que j'existe
Que j'existe
Mes avions de papier s'envolent
Mais, retombent vite au sol
Trop lourds pour porter le silence
D'une si longue absence
Je vis à la fenêtre
Je ne suis jamais triste
Ce n'est pas fini
À moins que j'perdre la tête
Tu t'souviendras que j'existe
À mois que je n'en finisse, que j'existe
Que j'existe
Credits
Writer(s): Eric Lapointe, Stephane Victor Dufour, Bouaziss Tabrha
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