Comme avant
J'ai fait marrer la vie
Elle m'a fait douter souvent
J'ai prié le ciel gris au moins une fois par an
J'ai pas eu de petite fille
J'ai fait des grands-parents
J'ai pas eu mon permis
Pourtant j'avais le temps
J'ai pas eu d'coup d'génie
Mais j'ai refermé des gouffres
Un instant devant lui
J'ai retenu mon souffle
J'ai pris un destin qui en renfermait cent
J'ai pleuré pour un rien
Comme toujours
Comme avant
J'ai reconnu l'bonheur sous un grand olivier
J'ai pas senti mon coeur pendant des jours, assommée
J'ai rayé des moments qui me pesaient un brin
Et dans un bus en chantant j'ai rencontré quelqu'un
J'ai fait du chemin sans en faire vraiment
J'ai fait du chagrin à ceux que j'aimais tant
J'ai pris un destin qui en renfermait cent
J'ai pleuré pour un rien
Comme toujours
Comme avant
Comme avant
J'ai usé mes Joplin
J'ai flambé comme une conne
J'ai brûlé trop de fines qui m'ont rendu aphone
J'ai voulu me connaître un mardi par semaine
J'ai vu de ma fenêtre s'envoler tant de peines
J'ai sacrifié des envies
J'ai dormi à moitié
Vécu à moitié endormie
J'ai appris à respirer
J'ai pris un destin qui en renfermait cent
J'ai pleuré pour un rien
Comme toujours
Comme avant
Comme avant
Comme avant
Comme avant
Comme avant
Elle m'a fait douter souvent
J'ai prié le ciel gris au moins une fois par an
J'ai pas eu de petite fille
J'ai fait des grands-parents
J'ai pas eu mon permis
Pourtant j'avais le temps
J'ai pas eu d'coup d'génie
Mais j'ai refermé des gouffres
Un instant devant lui
J'ai retenu mon souffle
J'ai pris un destin qui en renfermait cent
J'ai pleuré pour un rien
Comme toujours
Comme avant
J'ai reconnu l'bonheur sous un grand olivier
J'ai pas senti mon coeur pendant des jours, assommée
J'ai rayé des moments qui me pesaient un brin
Et dans un bus en chantant j'ai rencontré quelqu'un
J'ai fait du chemin sans en faire vraiment
J'ai fait du chagrin à ceux que j'aimais tant
J'ai pris un destin qui en renfermait cent
J'ai pleuré pour un rien
Comme toujours
Comme avant
Comme avant
J'ai usé mes Joplin
J'ai flambé comme une conne
J'ai brûlé trop de fines qui m'ont rendu aphone
J'ai voulu me connaître un mardi par semaine
J'ai vu de ma fenêtre s'envoler tant de peines
J'ai sacrifié des envies
J'ai dormi à moitié
Vécu à moitié endormie
J'ai appris à respirer
J'ai pris un destin qui en renfermait cent
J'ai pleuré pour un rien
Comme toujours
Comme avant
Comme avant
Comme avant
Comme avant
Comme avant
Credits
Writer(s): Keren Meloul, Pierre Jean-francois Jaconelli
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