Confortable
Ça me paraît si loin de notre enfance
On se voit bien moins qu'on n'a la chance
J'te blâme pas, blâme moi donc pas.
On lit le journal du coin des yeux,
On cale le café sur notre cœur
On parle même d'enfants, on parle, on parle, on parle tout le temps
On occupe nos mains de ce qui nous reste d'innocence
On s'habitue à même s'enlacer et près de nos doutes gît notre méfiance
On évite le regard des autres
De peur de le poser quelques instants sur soi-même
On touche de l'ébène plus malade que notre teint
La paume collée sur la vitre.
La pluie me parle encore d'histoires tristes
Cette dernière me communique bien seule
Toutes les réponses aux questions que je ne voulais pas me poser
Je suis confortable
J'y crois encore,
J'me force d'orienter toutes les réponses vers l'espoir,
Mais ça tourne dans le vide, dans le fond de ma tête
On a beau dépenser et dépenser tant de sueur,
On sème de l'amour,
mais le sol ici est sec et plein d'aigreur et faudrait qu'on l'arrose
La paume collée sur la vitre.
La pluie me parle encore d'histoires tristes
Cette dernière me communique bien seule
Toutes les réponses aux questions que je ne voulais pas me poser
Et les yeux collés d'envie
Le soleil se moque bien de nous brûler jusqu'à lui
Ce dernier reste noir derrière l'orage
J'essaie d'en rire, mais comment le dire?
Je suis confortable
J'essaie de ne plus être...
On se voit bien moins qu'on n'a la chance
J'te blâme pas, blâme moi donc pas.
On lit le journal du coin des yeux,
On cale le café sur notre cœur
On parle même d'enfants, on parle, on parle, on parle tout le temps
On occupe nos mains de ce qui nous reste d'innocence
On s'habitue à même s'enlacer et près de nos doutes gît notre méfiance
On évite le regard des autres
De peur de le poser quelques instants sur soi-même
On touche de l'ébène plus malade que notre teint
La paume collée sur la vitre.
La pluie me parle encore d'histoires tristes
Cette dernière me communique bien seule
Toutes les réponses aux questions que je ne voulais pas me poser
Je suis confortable
J'y crois encore,
J'me force d'orienter toutes les réponses vers l'espoir,
Mais ça tourne dans le vide, dans le fond de ma tête
On a beau dépenser et dépenser tant de sueur,
On sème de l'amour,
mais le sol ici est sec et plein d'aigreur et faudrait qu'on l'arrose
La paume collée sur la vitre.
La pluie me parle encore d'histoires tristes
Cette dernière me communique bien seule
Toutes les réponses aux questions que je ne voulais pas me poser
Et les yeux collés d'envie
Le soleil se moque bien de nous brûler jusqu'à lui
Ce dernier reste noir derrière l'orage
J'essaie d'en rire, mais comment le dire?
Je suis confortable
J'essaie de ne plus être...
Credits
Writer(s): Benjamin Piette
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
© 2024 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.