Jack's Lament (French)
Ils me trouvent génial, mes mauvais tours les émerveillent
Tous les ans, c'est le triomphe et la gloire
Je leur fais des surprises quand la lune s'éveille
Et ils crient avant de m'apercevoir
Sans le moindre effort, je m'amuse à jouer au fantôme
Et presque aussitôt, c'est la panique
Un seul geste banal, si l'on sait faire "bouh"
Fait fuir sur-le-champ l'armée la plus stoïque
Mais jour après jour, c'est la même déprime
Je n'éprouve plus rien en commettant mes crimes
Et moi, Jack l'Épouvantail
J'avoue me lasser de la même bataille
Dans mon vieux corps, il règne aujourd'hui
Une bien étrange mélancolie
Pour moi, la vie n'est qu'un long sanglot
Mon cœur éclate, la mort est mon lot
Je suis l'esprit du mal, le génie infernal
Les revenants ne vont pas en revenir
Je suis marié à la peur, l'horreur et la terreur
Pour le meilleur et surtout le pire
Et comme je suis mort, je me sers de mon crâne
Pour réciter "être ou ne pas être"
Lorsque l'envie m'en prend, mes cris fracassants
Résonnent à plus de 120 kilomètres
Un jour, oui, pourrais-je me faire entendre?
Moi, l'épouvantail qu'on dit privé d'entrailles?
Je ne veux plus de la couronne
Comment pourraient-ils comprendre?
S'ils savaient seulement comme j'aimerais la rendre...
Je traîne sans but mes vieux os fourbus
Je me languis de l'inconnu
Pouvoir et gloire sont bien dérisoires
Face au néant de mon désespoir
Tous les ans, c'est le triomphe et la gloire
Je leur fais des surprises quand la lune s'éveille
Et ils crient avant de m'apercevoir
Sans le moindre effort, je m'amuse à jouer au fantôme
Et presque aussitôt, c'est la panique
Un seul geste banal, si l'on sait faire "bouh"
Fait fuir sur-le-champ l'armée la plus stoïque
Mais jour après jour, c'est la même déprime
Je n'éprouve plus rien en commettant mes crimes
Et moi, Jack l'Épouvantail
J'avoue me lasser de la même bataille
Dans mon vieux corps, il règne aujourd'hui
Une bien étrange mélancolie
Pour moi, la vie n'est qu'un long sanglot
Mon cœur éclate, la mort est mon lot
Je suis l'esprit du mal, le génie infernal
Les revenants ne vont pas en revenir
Je suis marié à la peur, l'horreur et la terreur
Pour le meilleur et surtout le pire
Et comme je suis mort, je me sers de mon crâne
Pour réciter "être ou ne pas être"
Lorsque l'envie m'en prend, mes cris fracassants
Résonnent à plus de 120 kilomètres
Un jour, oui, pourrais-je me faire entendre?
Moi, l'épouvantail qu'on dit privé d'entrailles?
Je ne veux plus de la couronne
Comment pourraient-ils comprendre?
S'ils savaient seulement comme j'aimerais la rendre...
Je traîne sans but mes vieux os fourbus
Je me languis de l'inconnu
Pouvoir et gloire sont bien dérisoires
Face au néant de mon désespoir
Credits
Writer(s): Danny Elfman
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