Rien de vous
Je ne sais rien de vous sinon que vous passez
Juste devant le square à 17h40
Et que je trouve doux d'avoir à respirer
Votre haleine de soie dans la brise qui vente
Je ne sais rien de vous sinon que vous portez
Des chaussures à talon qui vous cante le pied
Et là je vous avoue en vous voyant passer
Devant l'guéridon, j'aimerais vous arrêter
Mais, je ne bouge pas vous ne saurez rien
De ce qui bat en moi et restera vain pourtant
Quand je vous vois le désir me ronge
Tant que je vous tutoie si jamais je vous songe
Je ne sais rien de vous sinon que la lumière
Que dépose l'automne sur votre chevelure
A des reflets si fous que les arbres sont fiers
De poser, je soupçonne dans la même peinture
Je ne sais rien de vous si mes pupilles louchent
De leur douce impudeur s'étend de tendres espoirs
Que vous tourniez un jour et que vos yeux me touchent
De leur pâle couleur une saison d'un soir
Mais, je n'bougerai pas vous ne saurez rien
De ce qui bat en moi et restera vain
Chaque fois que je te vois le désir me ronge
Tant que je vous tutoie si vraiment je vous songe
J'ai tout aimé de vous qui venez de passer
Juste devant le square à 17h40
Et dont je trouvais doux d'avoir à respirer
Cette haleine de soie et la brise qui vente
Je savais ça de vous quand il est arrivé
Étranglant mon espoir de ses mains indécentes
J'ai tout haï de vous qui mangiez ses baisers
En tuant notre histoire à 17h50
Juste devant le square à 17h40
Et que je trouve doux d'avoir à respirer
Votre haleine de soie dans la brise qui vente
Je ne sais rien de vous sinon que vous portez
Des chaussures à talon qui vous cante le pied
Et là je vous avoue en vous voyant passer
Devant l'guéridon, j'aimerais vous arrêter
Mais, je ne bouge pas vous ne saurez rien
De ce qui bat en moi et restera vain pourtant
Quand je vous vois le désir me ronge
Tant que je vous tutoie si jamais je vous songe
Je ne sais rien de vous sinon que la lumière
Que dépose l'automne sur votre chevelure
A des reflets si fous que les arbres sont fiers
De poser, je soupçonne dans la même peinture
Je ne sais rien de vous si mes pupilles louchent
De leur douce impudeur s'étend de tendres espoirs
Que vous tourniez un jour et que vos yeux me touchent
De leur pâle couleur une saison d'un soir
Mais, je n'bougerai pas vous ne saurez rien
De ce qui bat en moi et restera vain
Chaque fois que je te vois le désir me ronge
Tant que je vous tutoie si vraiment je vous songe
J'ai tout aimé de vous qui venez de passer
Juste devant le square à 17h40
Et dont je trouvais doux d'avoir à respirer
Cette haleine de soie et la brise qui vente
Je savais ça de vous quand il est arrivé
Étranglant mon espoir de ses mains indécentes
J'ai tout haï de vous qui mangiez ses baisers
En tuant notre histoire à 17h50
Credits
Writer(s): Yves Jamait, Samuel Garcia, Yvon Chery, Marc Benabou, Didier Grebot, Laurent Delort, Broyer-fulchiron Jerome
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
© 2024 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.