Un refrain courait dans la rue
Dans un amour, faut de la fierté, pouvoir se taire, de la dignité
Savoir partir au bon moment, cacher son mal en souriant
Et je me disais en marchant que j'avais su partir à temps
Si mon cœur est désespéré, il ne m'aura pas vu pleurer
Un refrain courait dans la rue bousculant les passants
Il s'faufilait dans la cohue d'un petit air engageant
J'étais sur son passage, il s'arrêta devant moi
Et me dit d'un ton sage "tu es triste, mon Dieu pourquoi?"
Viens et rentre dans ma chanson, il y a de beaux garçons
Jette ton chagrin dans le ruisseau et tourne-lui le dos
Il faut que ton couplet soit gai, alors parlons du mois de mai
Des arbres en robe, de lilas et de l'été qui pousse en tas
Y a des violettes, un balcon, un vieux poète chante une chanson
Ma robe est tachée de soleil, je le garde pour mes réveils
Un refrain courait dans la rue, bousculant les passants
Il s'faufilait dans la cohue, d'un petit air engageant
Les gens sur son passage se regardaient l'air surpris
Cessant leurs bavardages "quel est donc ce malappris?"
Oui, mais l'air était entrainant et les mots engageants
Et surtout, il y avait dedans du rire à bout portant
Si cet air qui court dans la rue peut chasser vos tourments
Alors entrez dans la cohue, y a d'la place en poussant
Savoir partir au bon moment, cacher son mal en souriant
Et je me disais en marchant que j'avais su partir à temps
Si mon cœur est désespéré, il ne m'aura pas vu pleurer
Un refrain courait dans la rue bousculant les passants
Il s'faufilait dans la cohue d'un petit air engageant
J'étais sur son passage, il s'arrêta devant moi
Et me dit d'un ton sage "tu es triste, mon Dieu pourquoi?"
Viens et rentre dans ma chanson, il y a de beaux garçons
Jette ton chagrin dans le ruisseau et tourne-lui le dos
Il faut que ton couplet soit gai, alors parlons du mois de mai
Des arbres en robe, de lilas et de l'été qui pousse en tas
Y a des violettes, un balcon, un vieux poète chante une chanson
Ma robe est tachée de soleil, je le garde pour mes réveils
Un refrain courait dans la rue, bousculant les passants
Il s'faufilait dans la cohue, d'un petit air engageant
Les gens sur son passage se regardaient l'air surpris
Cessant leurs bavardages "quel est donc ce malappris?"
Oui, mais l'air était entrainant et les mots engageants
Et surtout, il y avait dedans du rire à bout portant
Si cet air qui court dans la rue peut chasser vos tourments
Alors entrez dans la cohue, y a d'la place en poussant
Credits
Writer(s): Edith Piaf (edith Gassion), Robert Chauvigny
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