Toi, le refrain de ma vie (Tell Me to My Face)
J'ai gravé quelques cœurs sur quelques arbres
Sur du sable, sur du marbre
Sur des coins de tables d'écoliers
J'ai cru à presque toutes mes histoires
À des amours dérisoires
Qui ne passaient même pas l'été
Mais c'était de toi que je rêvais
C'était de toi que je brûlais mes nuits
Je changeais sans cesse les couplets
Mais c'était toi le refrain de ma vie
J'ai gravé quelques cœurs dont il ne reste
Le plus souvent que la flèche
Qu'un peu d'amertume ou de remords
La veille au soir on lui a dit "je t'aime"
Le matin on ne sait même
Plus le prénom de celle qui dort
Mais c'était de toi que je rêvais
C'était de toi que je brûlais mes nuits
Je changeais sans cesse les couplets
Mais c'était toi le refrain de ma vie
Je ne rêve plus, tu es bien là
Mais je continue à rêver de toi
Il est fini le temps des aventures
Des conquêtes, des ruptures
Des carnets d'adresses bien remplis
Le temps des pleurs au bout du téléphone
Le temps des retours d'automne
Il n'est pas perdu, puisqu'aujourd'hui
Je vois bien que mon rêve était vrai
Que c'était toi dont je brûlais mes nuits
Je changeais sans cesse les couplets
Mais c'était toi le refrain de ma vie
Je ne rêve plus, tu es bien là
Et je continue à rêver de toi
Sur du sable, sur du marbre
Sur des coins de tables d'écoliers
J'ai cru à presque toutes mes histoires
À des amours dérisoires
Qui ne passaient même pas l'été
Mais c'était de toi que je rêvais
C'était de toi que je brûlais mes nuits
Je changeais sans cesse les couplets
Mais c'était toi le refrain de ma vie
J'ai gravé quelques cœurs dont il ne reste
Le plus souvent que la flèche
Qu'un peu d'amertume ou de remords
La veille au soir on lui a dit "je t'aime"
Le matin on ne sait même
Plus le prénom de celle qui dort
Mais c'était de toi que je rêvais
C'était de toi que je brûlais mes nuits
Je changeais sans cesse les couplets
Mais c'était toi le refrain de ma vie
Je ne rêve plus, tu es bien là
Mais je continue à rêver de toi
Il est fini le temps des aventures
Des conquêtes, des ruptures
Des carnets d'adresses bien remplis
Le temps des pleurs au bout du téléphone
Le temps des retours d'automne
Il n'est pas perdu, puisqu'aujourd'hui
Je vois bien que mon rêve était vrai
Que c'était toi dont je brûlais mes nuits
Je changeais sans cesse les couplets
Mais c'était toi le refrain de ma vie
Je ne rêve plus, tu es bien là
Et je continue à rêver de toi
Credits
Writer(s): A. Clarke, Claude Lemesle, Pierre Delanoë
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
© 2024 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.