Pas de dénouement
1: Fonik]
Les 'teilles s'enchaînent, j'vois pas plus loin que l'fond du verre
J'guette la lune, garde le bon flair quand les pet' s'allument
Juste un bol d'air, j'ai besoin que mes dettes s'annulent
Roule un gros zdah mes cinq têtes kiffent que quand ça bulle
Dis-moi pourquoi nos parents en chient autant?
Pourquoi la majeur partie de mon temps le stylo prend?
Au final que personne comprend?
Depuis la nuit des temps c'est boisson aromatisée
On nourrit nos valeurs et tout c'que nos reums ont tissé
En manque d'appétit, c'est pas la fin vu que la partie commence
Mon cœur métissé assombrit ma part d'innocence
C'est interminable sauf si demain on t'enlève deux bras
Si ta troisième jambe répond plus à l'appel des draps
C'est les mêmes procès, les mêmes erreurs et les mêmes frères fauchés
Qui traînent près des fossés, le chant de la mélodie des rez-de-chaussée
Dis-moi mais qui déguise la crise en France?
L'avenir s'dessine tristement
Mais qu'est-ce t'en penses?
C'est qui cet enfant qu'écrit des rimes qui dérangent?
Le crime s'étend, depuis 10 piges je vise devant
Le vice te hante, le risque est grand on a très vite envie d'se pendre
Pas d'dénouement
L'pays nous ment depuis limite Mitterrand
De la vie de qui mon fils dépend
Envie des kisdés qui s'détendent
Pastis et Grant une vie étrange
Est-ce difficile de vivre ensemble?
On trime et tremble, en guise de planque
Le biz, les filles, les billets d'banque
On est tous des numéros, faut s'activer d'faire ses dièses
A sa manière sortir du lot malgré des probabilités faibles
Et quelques sursauts d'vanité pour réaliser ses rêves
Car j'peux pas m'faire à l'idée que la fatalité m'baise
Parce la banalité blesse, parfois t'laisse paralysé
J'suis plus que ma ligne directrice et j'évite les voies balisées
Même si j'ai pas d'idées précises d'où sera ma ligne d'arrivée
Peut-être bad-tripper à l'asile, peut-être à finir grave friqué
J'ai l'blues des HLM, j'roule mon pers' d'bon matin
J'tousse c'est tarpe diem, oups j'en perds mon latin
Chat noir bercé par un bruit d'gouttière
Chaque soir perché, j'reste chez moi l'parapluie ouvert
Ces connards portent des sapes aux prix illimités
Les clochards portent des capes d'invisibilité
Tu veux palper les seufs de Kim dans son club de gym
Guette le film, tu seras caissier chez Burger King
Passe le micro et j'rappe ma révolte
J'garde les pieds sur terre on bédavera la récolte
Solitaire on a des raisons d'y croire
On est pas des égocentriques qui réfléchissent que devant l'miroir
C'est trop la merde, y'a pas d'dénouements
Mon enfance dort dans un coin d'ma tête, j'dois parler doucement
C'est vrai, j'aimerais quitter cette terre
Cet été en Île-de-France j'faisais la plonge
La rue m'a donne l'pass Navigo pour l'enfer
M'a dit "tu préfères quoi entre la cirrhose ou l'cancer?"
On bédave, on pillave, quand c'est l'soir on s'détruit
Le Sheïtan nous séduit et l'espoir se réduit
Notre histoire est prédit, mon Dieu mais qu'est-ce qu'il faut que j'fasse?
Quand j'vois ma fiche de paie j'ai envie d'faire un go fast
Ou ça passe ou ça casse et j'termine à ry-Fleu
Cette routine me gifle, je m'extermine à petit feu
Dans un paquet d'tourments j'traîne un passé troublant
J'me doute que dans l'futur le final sera émouvant
On a galère souvent, on a ramé tout c'temps
J'ai compris qu'il y aurait pas de dénouement
Les 'teilles s'enchaînent, j'vois pas plus loin que l'fond du verre
J'guette la lune, garde le bon flair quand les pet' s'allument
Juste un bol d'air, j'ai besoin que mes dettes s'annulent
Roule un gros zdah mes cinq têtes kiffent que quand ça bulle
Dis-moi pourquoi nos parents en chient autant?
Pourquoi la majeur partie de mon temps le stylo prend?
Au final que personne comprend?
Depuis la nuit des temps c'est boisson aromatisée
On nourrit nos valeurs et tout c'que nos reums ont tissé
En manque d'appétit, c'est pas la fin vu que la partie commence
Mon cœur métissé assombrit ma part d'innocence
C'est interminable sauf si demain on t'enlève deux bras
Si ta troisième jambe répond plus à l'appel des draps
C'est les mêmes procès, les mêmes erreurs et les mêmes frères fauchés
Qui traînent près des fossés, le chant de la mélodie des rez-de-chaussée
Dis-moi mais qui déguise la crise en France?
L'avenir s'dessine tristement
Mais qu'est-ce t'en penses?
C'est qui cet enfant qu'écrit des rimes qui dérangent?
Le crime s'étend, depuis 10 piges je vise devant
Le vice te hante, le risque est grand on a très vite envie d'se pendre
Pas d'dénouement
L'pays nous ment depuis limite Mitterrand
De la vie de qui mon fils dépend
Envie des kisdés qui s'détendent
Pastis et Grant une vie étrange
Est-ce difficile de vivre ensemble?
On trime et tremble, en guise de planque
Le biz, les filles, les billets d'banque
On est tous des numéros, faut s'activer d'faire ses dièses
A sa manière sortir du lot malgré des probabilités faibles
Et quelques sursauts d'vanité pour réaliser ses rêves
Car j'peux pas m'faire à l'idée que la fatalité m'baise
Parce la banalité blesse, parfois t'laisse paralysé
J'suis plus que ma ligne directrice et j'évite les voies balisées
Même si j'ai pas d'idées précises d'où sera ma ligne d'arrivée
Peut-être bad-tripper à l'asile, peut-être à finir grave friqué
J'ai l'blues des HLM, j'roule mon pers' d'bon matin
J'tousse c'est tarpe diem, oups j'en perds mon latin
Chat noir bercé par un bruit d'gouttière
Chaque soir perché, j'reste chez moi l'parapluie ouvert
Ces connards portent des sapes aux prix illimités
Les clochards portent des capes d'invisibilité
Tu veux palper les seufs de Kim dans son club de gym
Guette le film, tu seras caissier chez Burger King
Passe le micro et j'rappe ma révolte
J'garde les pieds sur terre on bédavera la récolte
Solitaire on a des raisons d'y croire
On est pas des égocentriques qui réfléchissent que devant l'miroir
C'est trop la merde, y'a pas d'dénouements
Mon enfance dort dans un coin d'ma tête, j'dois parler doucement
C'est vrai, j'aimerais quitter cette terre
Cet été en Île-de-France j'faisais la plonge
La rue m'a donne l'pass Navigo pour l'enfer
M'a dit "tu préfères quoi entre la cirrhose ou l'cancer?"
On bédave, on pillave, quand c'est l'soir on s'détruit
Le Sheïtan nous séduit et l'espoir se réduit
Notre histoire est prédit, mon Dieu mais qu'est-ce qu'il faut que j'fasse?
Quand j'vois ma fiche de paie j'ai envie d'faire un go fast
Ou ça passe ou ça casse et j'termine à ry-Fleu
Cette routine me gifle, je m'extermine à petit feu
Dans un paquet d'tourments j'traîne un passé troublant
J'me doute que dans l'futur le final sera émouvant
On a galère souvent, on a ramé tout c'temps
J'ai compris qu'il y aurait pas de dénouement
Credits
Writer(s): Brack, Char, Fonik, L'affreux Jojo, Sk Micaz, Tragik
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