Le temps des fleurs
Dans une taverne du vieux Londres
Où se retrouvaient des étrangers
Nos voix criblées de joies montaient de l'ombre
Et nous écoutions nos cœurs chanter
C'était le temps des fleurs
On ignorait la peur
Les lendemains avaient un goût un miel
Ton bras prenait mon bras
Ta voix suivait ma voix
On était jeunes et l'on croyait au ciel
Laï, laï, laï, laï, laïla
Laï, laï, laï, laï, laïla
Laï, laï, laï, laï
La, la, la, laïlaïla
Et puis sont venus des jours de brume
Avec des bruits étranges et des pleurs
Combien j'ai passé de nuits sans lune
À chercher la taverne dans mon cœur
Tout comme au temps des fleurs
Où l'on vivait sans peur
Où chaque jour avait un goût de miel
Ton bras prenait mon bras
Ta voix suivait ma voix
On était jeunes et l'on croyait au ciel
Laï, laï, laï, laï, laïla
Laï, laï, laï, laï, laïla
Laï, laï, laï, laï
La, la, la, laïlaïla
Laï, laï, laï, laï, laïla
Laï, laï, laï, laï, laïla
Laï, laï, laï, laï
La, la, la, laïlaïla
Et ce soir je suis devant la porte
De la taverne où tu ne viendras plus
Et la chanson que la nuit m'apporte
Mon cœur déjà ne la connaît plus
C'était le temps des fleurs
On ignorait la peur
Nos lendemains avaient un goût de miel
Ton bras prenait mon bras
Ta voix suivait ma voix
On était jeunes et l'on croyait au ciel
Laï, laï, laï, laï, laïla
Laï, laï, laï, laï, laïla
Laï, laï, laï, laï
La, la, la, laïlaïla
Laï, laï, laï, laï, laïla
Laï, laï, laï, laï, laïla
Laï, laï, laï, laï
La, la, la, laïlaïla
Où se retrouvaient des étrangers
Nos voix criblées de joies montaient de l'ombre
Et nous écoutions nos cœurs chanter
C'était le temps des fleurs
On ignorait la peur
Les lendemains avaient un goût un miel
Ton bras prenait mon bras
Ta voix suivait ma voix
On était jeunes et l'on croyait au ciel
Laï, laï, laï, laï, laïla
Laï, laï, laï, laï, laïla
Laï, laï, laï, laï
La, la, la, laïlaïla
Et puis sont venus des jours de brume
Avec des bruits étranges et des pleurs
Combien j'ai passé de nuits sans lune
À chercher la taverne dans mon cœur
Tout comme au temps des fleurs
Où l'on vivait sans peur
Où chaque jour avait un goût de miel
Ton bras prenait mon bras
Ta voix suivait ma voix
On était jeunes et l'on croyait au ciel
Laï, laï, laï, laï, laïla
Laï, laï, laï, laï, laïla
Laï, laï, laï, laï
La, la, la, laïlaïla
Laï, laï, laï, laï, laïla
Laï, laï, laï, laï, laïla
Laï, laï, laï, laï
La, la, la, laïlaïla
Et ce soir je suis devant la porte
De la taverne où tu ne viendras plus
Et la chanson que la nuit m'apporte
Mon cœur déjà ne la connaît plus
C'était le temps des fleurs
On ignorait la peur
Nos lendemains avaient un goût de miel
Ton bras prenait mon bras
Ta voix suivait ma voix
On était jeunes et l'on croyait au ciel
Laï, laï, laï, laï, laïla
Laï, laï, laï, laï, laïla
Laï, laï, laï, laï
La, la, la, laïlaïla
Laï, laï, laï, laï, laïla
Laï, laï, laï, laï, laïla
Laï, laï, laï, laï
La, la, la, laïlaïla
Credits
Writer(s): Sevran Pascal, Romuald Jean Figuier, Jean Pierre Jules Harlet
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