Svärta
Je n'arrive plus à trouver le sommeil
Des valises sous les yeux jusqu'aux pommettes
Faut qu'on m'aide
Quand on vit dans une grande pièce
Qu'on m'aime
Car tout mon esprit est en pièces
J'sors d'un coma éthylique
J'ai pas la gueule du divine idylle
Qu'elle aille se faire foutre, Ludivine
J'ai plus dix piges
Le temps que j'décomate, c'est midi pile
Homosapiens
J'ai ma libido qui s'est fait la malle
Ne me laissant que les valises et les cernes
J'ai vomi la bile, c'était sale
Ma salive, elle est verte, j'sais pas d'où ça vient
Livide, insipide
J'ai les gimmicks d'Iggy Pop
J'avais la classe de Billie Jean
Vini vidi vici
J'ai ma glace qui m'victimise
La gueule marquée d'Eddy Mitchel
Les yeux qui collent, qui piquent, qui se vitrifient
L'insomnie me broie, je la pèse
Plus j'me retourne, plus son poids me rabaisse
L'oeil ouvert sur le noir de la pièce
Page cornée, chapitre trois de "La Peste"
Deux heures à tuer avec "Les amants du Pont-Neuf" qu'Arte rediffuse
Rien à compter, j'me suis déjà fait tous les moutons, la veille dans l'bus
Le corps comme un mur porteur avec une tête vissée dessus
Chaque minute pareille à la précédente comme un skeud de C2C
Le marchand d'sable ne monte pas au cinquième, angoisses dans le sablier
Ces putains de nuits blanches ne sont qu'des rêves érotiques habillés
Tramadol, Puvis de Chavannes, anti-inflammatoires
Tramadol, "Île des vérités", anti-inflammatoires
Tramadol, etc, j'me refais l'intégrale "Twin Peaks"
Tellement défoncé qu'le nain m'paraît normal, film X
En guise d'issue d'secours mais les heures ne sont qu'des portes en fonte
J'file des blazes à chaque araignée, squattant l'désert de mon plafond
Oublié dans la pesanteur
Terrain vague sans promoteur
Le sommeil est comme l'or
Plus il brille, moins il est prometteur
Je n'arrive plus à trouver le sommeil
Des valises sous les yeux jusqu'aux pommettes
Faut qu'on m'aide
Quand on vit dans une grande pièce
Qu'on m'aime
Car tout mon esprit est en pièces
Pour marchander le marchand
Quand mes heures de sommeil sont instables
J'y peux rien, j'reste éveillé au sommet de son tas d'sable
Désert affectif, pour la traversée, je songe à l'oasis
Un verre d'eau pour ma bouche sèche
Tapis volants et traversins
Shooter d'alcool frelaté tout droit venue de Croatie
Mais, rien à faire, les yeux grands ouverts
Je roule au volant d'une R5
Dans ma tête, tout se bouscule
Voilà pourquoi j'accuse le coup
Le pourquoi du comment, le cul entre deux chaises à bascule
Anxiolytiques sans ordonnance, la bonne musique est mon coup d'boost
Mais la sonnerie du réveille-matin fait qu'renforcer mon coup d'blues
Se cantonner à une vie cotonneuse mais en réalité
Elle ressemble plus à une chaussure d'sécurité qu'une moonboots
Quand la fatigue te tombe dessus mais que tu peux pas taper ton somme
C'qui t'faut, c'est pas des bouteilles de cidre mais la bolivienne de B2O
Tout peut ici se passer mais, quand t'es pété, c'est épuisant
Sieste appétissante
Mais, pour trouver l'sommeil, il m'faudrait la pendaison
Oh merde, j'en suis qu'une dont l'poids des yeux
Me rappelle que j'suis en perdition
Maman, fais-moi un pot-au-feu, j'suis tout patafoin
Des valises sous les yeux jusqu'aux pommettes
Faut qu'on m'aide
Quand on vit dans une grande pièce
Qu'on m'aime
Car tout mon esprit est en pièces
J'sors d'un coma éthylique
J'ai pas la gueule du divine idylle
Qu'elle aille se faire foutre, Ludivine
J'ai plus dix piges
Le temps que j'décomate, c'est midi pile
Homosapiens
J'ai ma libido qui s'est fait la malle
Ne me laissant que les valises et les cernes
J'ai vomi la bile, c'était sale
Ma salive, elle est verte, j'sais pas d'où ça vient
Livide, insipide
J'ai les gimmicks d'Iggy Pop
J'avais la classe de Billie Jean
Vini vidi vici
J'ai ma glace qui m'victimise
La gueule marquée d'Eddy Mitchel
Les yeux qui collent, qui piquent, qui se vitrifient
L'insomnie me broie, je la pèse
Plus j'me retourne, plus son poids me rabaisse
L'oeil ouvert sur le noir de la pièce
Page cornée, chapitre trois de "La Peste"
Deux heures à tuer avec "Les amants du Pont-Neuf" qu'Arte rediffuse
Rien à compter, j'me suis déjà fait tous les moutons, la veille dans l'bus
Le corps comme un mur porteur avec une tête vissée dessus
Chaque minute pareille à la précédente comme un skeud de C2C
Le marchand d'sable ne monte pas au cinquième, angoisses dans le sablier
Ces putains de nuits blanches ne sont qu'des rêves érotiques habillés
Tramadol, Puvis de Chavannes, anti-inflammatoires
Tramadol, "Île des vérités", anti-inflammatoires
Tramadol, etc, j'me refais l'intégrale "Twin Peaks"
Tellement défoncé qu'le nain m'paraît normal, film X
En guise d'issue d'secours mais les heures ne sont qu'des portes en fonte
J'file des blazes à chaque araignée, squattant l'désert de mon plafond
Oublié dans la pesanteur
Terrain vague sans promoteur
Le sommeil est comme l'or
Plus il brille, moins il est prometteur
Je n'arrive plus à trouver le sommeil
Des valises sous les yeux jusqu'aux pommettes
Faut qu'on m'aide
Quand on vit dans une grande pièce
Qu'on m'aime
Car tout mon esprit est en pièces
Pour marchander le marchand
Quand mes heures de sommeil sont instables
J'y peux rien, j'reste éveillé au sommet de son tas d'sable
Désert affectif, pour la traversée, je songe à l'oasis
Un verre d'eau pour ma bouche sèche
Tapis volants et traversins
Shooter d'alcool frelaté tout droit venue de Croatie
Mais, rien à faire, les yeux grands ouverts
Je roule au volant d'une R5
Dans ma tête, tout se bouscule
Voilà pourquoi j'accuse le coup
Le pourquoi du comment, le cul entre deux chaises à bascule
Anxiolytiques sans ordonnance, la bonne musique est mon coup d'boost
Mais la sonnerie du réveille-matin fait qu'renforcer mon coup d'blues
Se cantonner à une vie cotonneuse mais en réalité
Elle ressemble plus à une chaussure d'sécurité qu'une moonboots
Quand la fatigue te tombe dessus mais que tu peux pas taper ton somme
C'qui t'faut, c'est pas des bouteilles de cidre mais la bolivienne de B2O
Tout peut ici se passer mais, quand t'es pété, c'est épuisant
Sieste appétissante
Mais, pour trouver l'sommeil, il m'faudrait la pendaison
Oh merde, j'en suis qu'une dont l'poids des yeux
Me rappelle que j'suis en perdition
Maman, fais-moi un pot-au-feu, j'suis tout patafoin
Credits
Writer(s): Yann Rat Patron (oster Lapwass), Anthony Serra (anton Serra), Ludovic Villard (lucio Bukowski), Hakan Aksoy (hakan Le Grand), Eddy Martin (eddy Woogy)
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