Sur mon cou - Live 2006
Sur mon cou, sans armure et sans haine, mon cou
Que ma main plus lègère et grave qu'une veuve
Effleure sous mon col, sans que ton cœur s'émeuve
Laisse tes dents poser leur sourire de loup
Ô viens mon beau soleil, ô viens ma nuit d'Espagne
Arrive dans mes yeux qui seront morts demain
Arrive, ouvre ma porte, apporte-moi ta main
Mène-moi loin d'ici, battre notre campagne
Le ciel peut s'éveiller, les étoiles fleurir
Ni les fleurs soupirer, et des prés, l'herbe noire
Accueillir la rosée où le matin va boire
Le clocher peut sonner, moi, seul, je vais mourir
Ô viens mon ciel de rose, ô ma corbeille blonde
Visite dans sa nuit ton condamné à mort
Arrache-toi la chair, tue, escalade, mords
Mais viens, pose ta joue contre ma tête ronde
Nous n'avions pas fini de nous parler d'amour
Nous n'avions pas fini de fumer nos gitanes
On peut se demander pourquoi les cours condamnent
Un assassin si beau qu'il fait pâlir le jour
Amour, viens sur ma bouche, amour, ouvre tes portes
Traverse les couloirs, descends, marche léger
Vole dans l'escalier, plus souple qu'un berger
Plus soutenu dans l'air qu'un vol de feuilles mortes
Cours, traverse les murs, s'il le faut, marche au bord
Des toits, des océans, couvre-toi de lumière
Use de la menace, use de la prière
Mais viens, ô ma frégate, une heure avant ma mort
Merci beaucoup
Quelque chose d'un peu plus léger
Que ma main plus lègère et grave qu'une veuve
Effleure sous mon col, sans que ton cœur s'émeuve
Laisse tes dents poser leur sourire de loup
Ô viens mon beau soleil, ô viens ma nuit d'Espagne
Arrive dans mes yeux qui seront morts demain
Arrive, ouvre ma porte, apporte-moi ta main
Mène-moi loin d'ici, battre notre campagne
Le ciel peut s'éveiller, les étoiles fleurir
Ni les fleurs soupirer, et des prés, l'herbe noire
Accueillir la rosée où le matin va boire
Le clocher peut sonner, moi, seul, je vais mourir
Ô viens mon ciel de rose, ô ma corbeille blonde
Visite dans sa nuit ton condamné à mort
Arrache-toi la chair, tue, escalade, mords
Mais viens, pose ta joue contre ma tête ronde
Nous n'avions pas fini de nous parler d'amour
Nous n'avions pas fini de fumer nos gitanes
On peut se demander pourquoi les cours condamnent
Un assassin si beau qu'il fait pâlir le jour
Amour, viens sur ma bouche, amour, ouvre tes portes
Traverse les couloirs, descends, marche léger
Vole dans l'escalier, plus souple qu'un berger
Plus soutenu dans l'air qu'un vol de feuilles mortes
Cours, traverse les murs, s'il le faut, marche au bord
Des toits, des océans, couvre-toi de lumière
Use de la menace, use de la prière
Mais viens, ô ma frégate, une heure avant ma mort
Merci beaucoup
Quelque chose d'un peu plus léger
Credits
Writer(s): Jean Genet, Martin Annet, Jacques Annet
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