Mon Monde

Il faut chercher au fond de soi.
Parfois, la couleur d'un autre moi,
Evoque la douceur serait par là,
Qui sait la douleur nous réchauffera.

Et puis, vient la découverte soudaine,
Au plus profond, cherche chair humaine,
Se cache aux lumières incertaines,
Rallumant l'âme, nommons la reine.

Heureusement, il y a ces gens,
Qui soufflent, qui soufflent contre ce vent.
Au Nord, on se protège du sang,
Au Sud, on saigne abondamment,
Au Sud, on saigne abondamment.

Oh! mon monde, oh! ma souffrance,
Oh! ma colombe, ma douce France.
Il paraitrait qu'il y a un sens,
Dans nos enfances, tant d'évidences.

Parfois, le feu s'éteint.
La machine prend la vie en main.
Le temps qui pousse au moins des dollars.
Profits, profits, profitons des milliards.
Il y a des gens au ventre rond,
Et, pas pour des indesgestitions.
Il y a des gens au ventre rond,
Et nous, les roi, et nos millions.
On a créé la grande europe.
Mais, va-t-elle baisser sa culotte?
Est ce qu'on compte américanisation?
Pour elles deux, en compétition,
Et voilà, dont la grande question,
Et voilà, dont ma grande question.

Oh! mon monde, oh! ma souffrance,
Oh! ma colombe, ma douce France.
Il paraitrait qu'il y a un sens,
Dans nos enfants, tant évidences.

Oh! mon monde, oh! ma souffrance,
Oh! ma colombe, ma douce France.
Il paraitrait qu'il y a un sens,
Dans nos enfants, tant évidences.

Oh, oh ...

Et, c'est à vous que je m'adresse,
Vous, hommes d'Etat, hommes de grandesse.
Vous jouez des mots comme de nos vies,
Et, on existe à l'infini.
Méfiez vous, messieurs les présidents.
Des brebis, qui depuis quelques temps,
Se changent en loups au mauvais temps,
Se changent en loups au mauvais temps.

Oh, oh ...

*Pourquoi cette tristesse*
*Je n'avais pas deviné*
*Je ne pouvais pas imaginer*
*Je l'ai su après*
*Je l'ai su après*
*Je ne pouvais pas le deviner*



Credits
Writer(s): Florian Peppuy
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