Chanson de la plus haute tour

Chanson De La Plus Haute Tour
de Arthur RIMBAUD, Colette Magny. 1964.

R. Qu'il vienne, qu'il vienne,
Le temps dont on s'éprenne.

1. J'ai tant fait patience
Qu'a jamais j'oublie.
Craintes et souffrances
Aux cieux sont parties.
Et la soif malsaine
Obscurcit mes veines.
R.

2. Telle la prairie
A l'oubli livrée,
Grandie, et fleurie
D'encens et d'ivraies,
Au bourdon farouche
des sales mouches.
R.



Credits
Writer(s): Catherine Marie Le Forestier
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