Une première fois de plus
Je te sens, je te vois, tu me touches, elle croît,
Quand ta bouche, m'effleure doucement par endroit, j'aime ça
Tu m'aguiches, Je t'allèche, tu m'aspires, je te bois,
Sur l'affiche de mon film, on ne voit que toi, que toi
Des pieds jusqu'à la tête, nos deux corps maladroits
Partent à la conquête, de nos sens en e'moi
A présent tu me prêtes, l'audace que je n'ai pas
L'animal, le poète, qui préférerais-tu que je sois
Je t'entends, je te crois, tu susurres tout bas,
Que tu m'aimes, qu'a' chaque instant tu penses a' moi, rien qu'à moi
Tu m'attends, je t'espère, je déborde de joie,
Je tempère, l'envie d'être tout contre toi, contre toi
Je respire par instant; je suffoque, je me noie
Quand ton corps frémissant, dégouline sous mes doigts
J'y dépose tendrement, un baiser délicat
Comme un adolescent, comme une nouvelle première fois.
Une première fois de plus, le temps s'est arrêté
Une première fois de plus, rien d'autre n'a compté
Je ne me souviens plus, toutes celles qui m'ont torturé, torturé
Je t'invite, chaque fois, que la lune flamboie,
Je crépite, quand j'entends le son de ta voix
Tu m'excites, te déploies, comme un oiseau de proie,
Je profite, de l'instant pour m'offrir à toi
Ta bouche est fantastique, tes courbes un attentat,
Ton sourire hypnotique, me possède déjà,
Les effluves organiques, e'veillent mon odorat
Me'lange épidermique, ta saveur douce et forte à la fois
Quand ta bouche, m'effleure doucement par endroit, j'aime ça
Tu m'aguiches, Je t'allèche, tu m'aspires, je te bois,
Sur l'affiche de mon film, on ne voit que toi, que toi
Des pieds jusqu'à la tête, nos deux corps maladroits
Partent à la conquête, de nos sens en e'moi
A présent tu me prêtes, l'audace que je n'ai pas
L'animal, le poète, qui préférerais-tu que je sois
Je t'entends, je te crois, tu susurres tout bas,
Que tu m'aimes, qu'a' chaque instant tu penses a' moi, rien qu'à moi
Tu m'attends, je t'espère, je déborde de joie,
Je tempère, l'envie d'être tout contre toi, contre toi
Je respire par instant; je suffoque, je me noie
Quand ton corps frémissant, dégouline sous mes doigts
J'y dépose tendrement, un baiser délicat
Comme un adolescent, comme une nouvelle première fois.
Une première fois de plus, le temps s'est arrêté
Une première fois de plus, rien d'autre n'a compté
Je ne me souviens plus, toutes celles qui m'ont torturé, torturé
Je t'invite, chaque fois, que la lune flamboie,
Je crépite, quand j'entends le son de ta voix
Tu m'excites, te déploies, comme un oiseau de proie,
Je profite, de l'instant pour m'offrir à toi
Ta bouche est fantastique, tes courbes un attentat,
Ton sourire hypnotique, me possède déjà,
Les effluves organiques, e'veillent mon odorat
Me'lange épidermique, ta saveur douce et forte à la fois
Credits
Writer(s): Jérôme Meyroneinc
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