Archipel
Ne plus confondre la mise à nu et celle qui se dérobe
Je compte sur mes doigts les joies ébats qui se dévorent
J'avance en terrain miné par l'idée de mon corps glacé
Chaque jour, chaque minute, chaque angoisse aime jacasser
Ça fait des concerts de tablas dans mon crâne, dans mon âme
L'entrée est gratuite mais la sono est lamentable
Les consommations trop chères et de qualité douteuse
Mais l'ivresse viendra au secours de cette foule de damnés pour sûr
Goutte à goutte, l'orage évacue sa gueule de bois
Mises bout à bout, nos rages remplissent des allées de cercueils de rois
Touche à tout, le vent ramène dans nos poumons des bouts d'ancêtres
Pousse à bout tes nerfs afin qu'ils accomplissent leur bout d'enquête
Continue d'mélanger autant afin qu'ils nous dissolvent
L'art est le secret du fou qui passe entre dix salves
S'échapper dès lors demeure de l'ordre du bizarre
J'étouffe les tempêtes car j'ai ma belle fabrique à blizzard
Fissa, parcours les avenues en recherche de ta chère
12 bougies sur le crâne et les couleurs en sachets
Vendant mieux que de la musique, mec, j'ai des images
Crache sur les pompes d'un démon qui me dévisage
Plie ça, 20 minutes un texte, je le ricane
Seul dans une pièce, à poil sur fond de musique tzigane
J'y gagne plus que tout au monde, et je me dis que
L'amour, c'est l'or et, l'or, c'est pour leurs disques
Plie ça, 20 minutes un texte, je le ricane
Seul dans une pièce, à poil sur fond de musique tzigane
J'y gagne plus que tout au monde, et je me dis que
L'amour, c'est l'or et, l'or, c'est pour leurs disques
Plus aucun besoin de leurs opinions, je suis archipel
Enfoncé dans ce miracle océanique, m'y perds
Le reste, ça dépend de quand la vie s'libère
Je déterre la vertu même dans un vice d'hiver
Ah oui, la file s'allonge devant l'usine, ah bon?
Le soleil a tout compris, du coup, il plonge à l'ombre
Et puis éponge un nombre incalculable de gin
Afin de reprendre ses degrés perdus dès l'origine
Goutte à goutte, l'orage évacue sa gueule de bois
Mises bout à bout, nos rages remplissent des allées de cercueils de rois
Touche à tout, le vent ramène dans nos poumons des bouts d'ancêtres
Pousse à bout tes nerfs afin qu'ils accomplissent leur bout d'enquête
Épuisement, épicentre, écrivant, aiguisant
Les lames de rasoir dédiées à la gorge de médisants
Épuisement, épicentre, écrivant, aiguisant
Les lames de rasoir dédiées à la gorge de médisants
Je compte sur mes doigts les joies ébats qui se dévorent
J'avance en terrain miné par l'idée de mon corps glacé
Chaque jour, chaque minute, chaque angoisse aime jacasser
Ça fait des concerts de tablas dans mon crâne, dans mon âme
L'entrée est gratuite mais la sono est lamentable
Les consommations trop chères et de qualité douteuse
Mais l'ivresse viendra au secours de cette foule de damnés pour sûr
Goutte à goutte, l'orage évacue sa gueule de bois
Mises bout à bout, nos rages remplissent des allées de cercueils de rois
Touche à tout, le vent ramène dans nos poumons des bouts d'ancêtres
Pousse à bout tes nerfs afin qu'ils accomplissent leur bout d'enquête
Continue d'mélanger autant afin qu'ils nous dissolvent
L'art est le secret du fou qui passe entre dix salves
S'échapper dès lors demeure de l'ordre du bizarre
J'étouffe les tempêtes car j'ai ma belle fabrique à blizzard
Fissa, parcours les avenues en recherche de ta chère
12 bougies sur le crâne et les couleurs en sachets
Vendant mieux que de la musique, mec, j'ai des images
Crache sur les pompes d'un démon qui me dévisage
Plie ça, 20 minutes un texte, je le ricane
Seul dans une pièce, à poil sur fond de musique tzigane
J'y gagne plus que tout au monde, et je me dis que
L'amour, c'est l'or et, l'or, c'est pour leurs disques
Plie ça, 20 minutes un texte, je le ricane
Seul dans une pièce, à poil sur fond de musique tzigane
J'y gagne plus que tout au monde, et je me dis que
L'amour, c'est l'or et, l'or, c'est pour leurs disques
Plus aucun besoin de leurs opinions, je suis archipel
Enfoncé dans ce miracle océanique, m'y perds
Le reste, ça dépend de quand la vie s'libère
Je déterre la vertu même dans un vice d'hiver
Ah oui, la file s'allonge devant l'usine, ah bon?
Le soleil a tout compris, du coup, il plonge à l'ombre
Et puis éponge un nombre incalculable de gin
Afin de reprendre ses degrés perdus dès l'origine
Goutte à goutte, l'orage évacue sa gueule de bois
Mises bout à bout, nos rages remplissent des allées de cercueils de rois
Touche à tout, le vent ramène dans nos poumons des bouts d'ancêtres
Pousse à bout tes nerfs afin qu'ils accomplissent leur bout d'enquête
Épuisement, épicentre, écrivant, aiguisant
Les lames de rasoir dédiées à la gorge de médisants
Épuisement, épicentre, écrivant, aiguisant
Les lames de rasoir dédiées à la gorge de médisants
Credits
Writer(s): Ludovic Villard, Yann Patron
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
Other Album Tracks
© 2024 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.