Nativité
Le bourreau vomit son repas devant le corps démembré
D'un type dans une mauvaise passe
Le fourreau vide chante un blues larmoyant
Car la lame l'a quitté pour une belle gorge hélas
Cette solitude dans un corset haut d'gamme
N'en demeure pas moins une extraordinaire garce
S'épaissit l'air dans le soir
Et le noir revient dominer troquets perdus et parnasses
Me déplace en troïka, avale deux-trois Nikka
Pendaison d'oligarques sur fond d'électronica
Pars en fumée comme le rêve de toute génération
Avant d'entrer dans l'rang
Crémation intérieure
Création antérieure à la naissance et redéfinit l'temps
J'atterris sans embûche
Accueilli dans l'embarras par l'époque et ses fidèles larbins
Rien à cirer, je n'me situe nulle part
Comme le sage constatant que l'échec est atteint
Aucune pression dans mon crâne
Et le reste n'est que songes brumeux échappés de mes draps
Aucune pression dans mon crâne
Et le reste n'est que songes brumeux échappés de mes draps
Tout ça se termine et commence dans les larmes
Me déclare en paix, oui, j'ai baissé les armes
Élever le reste pour mieux creuser l'écart
Me laisser derrière dans les doutes et les bars
Rassemble les cendres et les balance au vent
Ainsi l'Ange et volutés regagnent l'élan
Perdu d'antan dans un bout de néant
Je me répare depuis dans un jour de géant
M'élève à l'abri des orages d'ego des autres
M'élève à l'abus des breuvages et clos mes fautes
Illusoires dans l'attente du bus de minuit pile
Savant mélange de latence et de Hibiki
Savant mélange de mon temps et de son refus
Sans vanter l'antre en mon âme, je me sens repus
Semblant de sembler d'attaque, vis sur la défense
Sentant que, d'emblée, ma tâche est dans la dépense
D'énergie coule leur amour et je meurs au mieux
Gis dans la cour de mon art et je me relève
Dans la soie douce d'un matin, je me resitue
Dans la voix douce d'un bon blues, je récapitule
D'énergie coule leur amour et je meurs au mieux
Gis dans la cour de mon art et je me relève
Dans la soie douce d'un matin, je me resitue
Dans la voix douce d'un bon blues, je récapitule
J'rallume les heures quand la tocante s'arrête
Vends mes cauchemars dans des brocantes à rêves
La nuit, je mens car la nuit est naïve
Et puis je me rends quand le soleil arrive
Mes Cyclamens forment des bouquets de pertes
Et j'en collectionne amertume délicatesse
Demeurons tristes dans cette ivresse d'iris
Et la lumière revient sur tes traits de déesse
Égarons-nous dans cette ville affamée
À laquelle j'ai offert mon aorte en offrande
Temple moderne, sur l'autel, affalé
Je me délesterai des miennes et de vos chances
Écrire n'est rien, c'est une perte de poids
Leur postérité sous un tertre de gloire
Ma mathématique sous un reste de voie
Rien à branler de vos règles de trois
Tout ça se termine et commence dans les larmes
Me déclare en paix, oui, j'ai baissé les armes
Élever le reste pour mieux creuser l'écart
Me laisser derrière dans les doutes et les bars
Rassemble les cendres et les balance au vent
Ainsi l'Ange et volutés regagnent l'élan
Perdu d'antan dans un bout de néant
Je me répare depuis dans un jour de géant
M'élève à l'abri des orages d'ego des autres
M'élève à l'abus des breuvages et clos mes fautes
Illusoires dans l'attente du bus de minuit pile
Savant mélange de latence et de Hibiki
Savant mélange de mon temps et de son refus
Sans vanter l'antre en mon âme, je me sens repus
Semblant de sembler d'attaque, vis sur la défense
Sentant que, d'emblée, ma tâche est dans la dépense
D'énergie coule leur amour et je meurs au mieux
Gis dans la cour de mon art et je me relève
Dans la soie douce d'un matin, je me resitue
Dans la voix douce d'un bon blues, je récapitule
D'énergie coule leur amour et je meurs au mieux
Gis dans la cour de mon art et je me relève
Dans la soie douce d'un matin, je me resitue
Dans la voix douce d'un bon blues, je récapitule
J'apparais solitaire par équipe
J'apparais trop binaire, paraît-il
Pari pris, garanti par éthique
J'agrandis ma hantise par répliques
Remporte cette putain d'lutte sans l'atout
Cette nuit, un simple fou prend la tour
Réalise mon ouvrage dans l'amour
Abandonne ma colère dans la boue
D'un type dans une mauvaise passe
Le fourreau vide chante un blues larmoyant
Car la lame l'a quitté pour une belle gorge hélas
Cette solitude dans un corset haut d'gamme
N'en demeure pas moins une extraordinaire garce
S'épaissit l'air dans le soir
Et le noir revient dominer troquets perdus et parnasses
Me déplace en troïka, avale deux-trois Nikka
Pendaison d'oligarques sur fond d'électronica
Pars en fumée comme le rêve de toute génération
Avant d'entrer dans l'rang
Crémation intérieure
Création antérieure à la naissance et redéfinit l'temps
J'atterris sans embûche
Accueilli dans l'embarras par l'époque et ses fidèles larbins
Rien à cirer, je n'me situe nulle part
Comme le sage constatant que l'échec est atteint
Aucune pression dans mon crâne
Et le reste n'est que songes brumeux échappés de mes draps
Aucune pression dans mon crâne
Et le reste n'est que songes brumeux échappés de mes draps
Tout ça se termine et commence dans les larmes
Me déclare en paix, oui, j'ai baissé les armes
Élever le reste pour mieux creuser l'écart
Me laisser derrière dans les doutes et les bars
Rassemble les cendres et les balance au vent
Ainsi l'Ange et volutés regagnent l'élan
Perdu d'antan dans un bout de néant
Je me répare depuis dans un jour de géant
M'élève à l'abri des orages d'ego des autres
M'élève à l'abus des breuvages et clos mes fautes
Illusoires dans l'attente du bus de minuit pile
Savant mélange de latence et de Hibiki
Savant mélange de mon temps et de son refus
Sans vanter l'antre en mon âme, je me sens repus
Semblant de sembler d'attaque, vis sur la défense
Sentant que, d'emblée, ma tâche est dans la dépense
D'énergie coule leur amour et je meurs au mieux
Gis dans la cour de mon art et je me relève
Dans la soie douce d'un matin, je me resitue
Dans la voix douce d'un bon blues, je récapitule
D'énergie coule leur amour et je meurs au mieux
Gis dans la cour de mon art et je me relève
Dans la soie douce d'un matin, je me resitue
Dans la voix douce d'un bon blues, je récapitule
J'rallume les heures quand la tocante s'arrête
Vends mes cauchemars dans des brocantes à rêves
La nuit, je mens car la nuit est naïve
Et puis je me rends quand le soleil arrive
Mes Cyclamens forment des bouquets de pertes
Et j'en collectionne amertume délicatesse
Demeurons tristes dans cette ivresse d'iris
Et la lumière revient sur tes traits de déesse
Égarons-nous dans cette ville affamée
À laquelle j'ai offert mon aorte en offrande
Temple moderne, sur l'autel, affalé
Je me délesterai des miennes et de vos chances
Écrire n'est rien, c'est une perte de poids
Leur postérité sous un tertre de gloire
Ma mathématique sous un reste de voie
Rien à branler de vos règles de trois
Tout ça se termine et commence dans les larmes
Me déclare en paix, oui, j'ai baissé les armes
Élever le reste pour mieux creuser l'écart
Me laisser derrière dans les doutes et les bars
Rassemble les cendres et les balance au vent
Ainsi l'Ange et volutés regagnent l'élan
Perdu d'antan dans un bout de néant
Je me répare depuis dans un jour de géant
M'élève à l'abri des orages d'ego des autres
M'élève à l'abus des breuvages et clos mes fautes
Illusoires dans l'attente du bus de minuit pile
Savant mélange de latence et de Hibiki
Savant mélange de mon temps et de son refus
Sans vanter l'antre en mon âme, je me sens repus
Semblant de sembler d'attaque, vis sur la défense
Sentant que, d'emblée, ma tâche est dans la dépense
D'énergie coule leur amour et je meurs au mieux
Gis dans la cour de mon art et je me relève
Dans la soie douce d'un matin, je me resitue
Dans la voix douce d'un bon blues, je récapitule
D'énergie coule leur amour et je meurs au mieux
Gis dans la cour de mon art et je me relève
Dans la soie douce d'un matin, je me resitue
Dans la voix douce d'un bon blues, je récapitule
J'apparais solitaire par équipe
J'apparais trop binaire, paraît-il
Pari pris, garanti par éthique
J'agrandis ma hantise par répliques
Remporte cette putain d'lutte sans l'atout
Cette nuit, un simple fou prend la tour
Réalise mon ouvrage dans l'amour
Abandonne ma colère dans la boue
Credits
Writer(s): Ludovic Villard, Yann Patron
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