C'est fini
Plus besoin de tes lèvres
Pour attiser ma fièvre
Plus besoin de tes caresses
Pour atteindre l'ivresse
Plus besoin du délice
De la moiteur de tes cuisses
Pour noyer mon stress
Plus besoin de tes fesses
Plus besoin de tout ça
Plus besoin de toi
N'importe comment c'est fini aujourd'hui
N'importe comment c'est la vie comme on dit
Si les souvenirs existent encore
Plus besoin de lacets
Noués à l'excès
Plus besoin de tes seins
Prisonniers de mes mains
Plus besoin de tes griffes
Pour rester actif
Plus besoin sous la douche
De rêver de ta bouche
Plus besoin de tout ça
Plus besoin de toi
N'importe comment c'est fini aujourd'hui
N'importe comment c'est la vie comme on dit
Si les souvenirs existent encore
A mort
Peu m'importe je les ranimerai pour que tu sois sale
Peu m'importe je m'enivrerai de ce corps que j'adore
Jusqu'à ce que je le brûle, que je l'abhorre
Peu m'importe j'imaginerai des vices qui font mal
Peu m'importe je me défoulerai pour te souiller encore
Jusqu'à ce que j'en crève, que tu m'implores.
N'importe comment c'est fini aujourd'hui
N'importe comment c'est la vie comme on dit
Si les souvenirs existent encore
A mort
Pour attiser ma fièvre
Plus besoin de tes caresses
Pour atteindre l'ivresse
Plus besoin du délice
De la moiteur de tes cuisses
Pour noyer mon stress
Plus besoin de tes fesses
Plus besoin de tout ça
Plus besoin de toi
N'importe comment c'est fini aujourd'hui
N'importe comment c'est la vie comme on dit
Si les souvenirs existent encore
Plus besoin de lacets
Noués à l'excès
Plus besoin de tes seins
Prisonniers de mes mains
Plus besoin de tes griffes
Pour rester actif
Plus besoin sous la douche
De rêver de ta bouche
Plus besoin de tout ça
Plus besoin de toi
N'importe comment c'est fini aujourd'hui
N'importe comment c'est la vie comme on dit
Si les souvenirs existent encore
A mort
Peu m'importe je les ranimerai pour que tu sois sale
Peu m'importe je m'enivrerai de ce corps que j'adore
Jusqu'à ce que je le brûle, que je l'abhorre
Peu m'importe j'imaginerai des vices qui font mal
Peu m'importe je me défoulerai pour te souiller encore
Jusqu'à ce que j'en crève, que tu m'implores.
N'importe comment c'est fini aujourd'hui
N'importe comment c'est la vie comme on dit
Si les souvenirs existent encore
A mort
Credits
Writer(s): Allan Theo
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