Seul
Il y a comme un vide autour de moi
Comme une étincelle de l'autre moi
Je me sens seul comme jamais je ne l'ai été
Tel un peuple, privé de son identité
Vais-je m'en sortir ou y rester
Dois-je même encore me lamenter?
Seul comme ces fois
Dépassés par les événements
Je frappe mon point défie encore le mur
Pour me rappeler à quel point
Cette vie a étranges allures
Seul, en ignorant vos murmures
Et derrière ce sourire
Qui masque si bien mes blessures
Mais si la vie donne des leçons
A moi tout seul j'en ai reçu trop
Je suis proche de la dépression
Mais même au milieu de vous tous
Seul et devant cette foule qui m'observe
Et ne réclame juste que je déclame
Un beau texte
Peu importe les blessures de mon âme
Seul, à l'image de cette minute de silence
Accordée aux disparus
Ou de ces vies qui dépendent des bruits
Des sirènes des ambulances sillonnant les rues
Dans ces nuits torrides
Ces rêves si horribles
Ces moments ou la souffrance semble sélective
Et que tu ressembles intensément à sa cible
Alors que tu veux juste être libre d'être un être libre
Mais personne n'a été plus seul
Que le Christ sur la croix
Portant les péchés de l'homme
Pourtant chaque jour il croit
Seul, loin de celle que je pensais être
La femme de ma vie
Et surtout loin de cet homme
Avec qui maman m'a donné la vie
Fervent fidèle de mon meilleur ami
Seul écrivant ma dernière lettre
Devant cette falaise
Et ce vide qui m'attire, m'appelle
Me promet même une meilleure vie
Loin de mon mal être
Seul, me demandant
Ce que demain je vais être
Voyageant dans des livres
Qui chaque jour des valeurs
D'honneur et de d'humilité me livrent
Rêvant de défendre mes idéaux
Mais seul sur scène
Parfois j'ai l'impression
De passer pour un idiot
Avec ma seule conscience
Pour me réconforter
Et mon seul bon sens
Pour me réorienter
Peut-être un peu trop introverti
En pensant à ma grand-mère
Qui peut être un peu trop tôt est partie
Et ces souvenirs,
Ces fou-rires, ces moments
Que j'aimerais tant revivre
Ou ces mots qu'elle ne cessait de me dire
Mbou! ni rondi ukube na mangolu ma dine diaw
Comme pour me dire
Que je dois être un homme fort et fier
Comme l'était mon grand père
Mais personne n'a été plus seul
Que le Christ sur la croix
Portant les péchés de l'homme
Pourtant chaque jour il croit
Seul je remercie tous ces inconnus
Qui apprécient ces mots
Que ma solitude
Puise dans mon être
Pour écrire ces vers
Qui me permettent d'exister
Loin de cette terre qui m'a vu naître
Seul, me noyant dans l'océan de ma mémoire
Proche du suicide
Voulant fuir tous mes déboires
Comme ce mal de vivre, que tu as du mal à lire
Mais qui chaque jour va de mal en pis
Projette même de détruire mon empire
Ou mes envies de sauver le monde
Alors que même dans ma famille
J'ai du mal à unir tout le monde
Seul comme Kem's,
Mon perroquet que j'aime tant
Mais qui dans sa cage,
Passait tout seul la plupart du temps
Seul mais évitant
Les propos compromettants
M'écartant de ces choses
Qu'on vous promet tant
Seul comme face à mon adversaire
Ou comme, à la plupart
De mes anniversaires
Seules sont ces familles
Abandonnées à elles-mêmes
Seules sont nos mères, affectées par
La disparition prématurée de nos pères
Mais qui malgré tout, nous encouragent
À ne jamais perdre de repères
Seul je serai un jour dans ce linceul
Aussi vrai que l'on naît et on meurt
Seul
Comme une étincelle de l'autre moi
Je me sens seul comme jamais je ne l'ai été
Tel un peuple, privé de son identité
Vais-je m'en sortir ou y rester
Dois-je même encore me lamenter?
Seul comme ces fois
Dépassés par les événements
Je frappe mon point défie encore le mur
Pour me rappeler à quel point
Cette vie a étranges allures
Seul, en ignorant vos murmures
Et derrière ce sourire
Qui masque si bien mes blessures
Mais si la vie donne des leçons
A moi tout seul j'en ai reçu trop
Je suis proche de la dépression
Mais même au milieu de vous tous
Seul et devant cette foule qui m'observe
Et ne réclame juste que je déclame
Un beau texte
Peu importe les blessures de mon âme
Seul, à l'image de cette minute de silence
Accordée aux disparus
Ou de ces vies qui dépendent des bruits
Des sirènes des ambulances sillonnant les rues
Dans ces nuits torrides
Ces rêves si horribles
Ces moments ou la souffrance semble sélective
Et que tu ressembles intensément à sa cible
Alors que tu veux juste être libre d'être un être libre
Mais personne n'a été plus seul
Que le Christ sur la croix
Portant les péchés de l'homme
Pourtant chaque jour il croit
Seul, loin de celle que je pensais être
La femme de ma vie
Et surtout loin de cet homme
Avec qui maman m'a donné la vie
Fervent fidèle de mon meilleur ami
Seul écrivant ma dernière lettre
Devant cette falaise
Et ce vide qui m'attire, m'appelle
Me promet même une meilleure vie
Loin de mon mal être
Seul, me demandant
Ce que demain je vais être
Voyageant dans des livres
Qui chaque jour des valeurs
D'honneur et de d'humilité me livrent
Rêvant de défendre mes idéaux
Mais seul sur scène
Parfois j'ai l'impression
De passer pour un idiot
Avec ma seule conscience
Pour me réconforter
Et mon seul bon sens
Pour me réorienter
Peut-être un peu trop introverti
En pensant à ma grand-mère
Qui peut être un peu trop tôt est partie
Et ces souvenirs,
Ces fou-rires, ces moments
Que j'aimerais tant revivre
Ou ces mots qu'elle ne cessait de me dire
Mbou! ni rondi ukube na mangolu ma dine diaw
Comme pour me dire
Que je dois être un homme fort et fier
Comme l'était mon grand père
Mais personne n'a été plus seul
Que le Christ sur la croix
Portant les péchés de l'homme
Pourtant chaque jour il croit
Seul je remercie tous ces inconnus
Qui apprécient ces mots
Que ma solitude
Puise dans mon être
Pour écrire ces vers
Qui me permettent d'exister
Loin de cette terre qui m'a vu naître
Seul, me noyant dans l'océan de ma mémoire
Proche du suicide
Voulant fuir tous mes déboires
Comme ce mal de vivre, que tu as du mal à lire
Mais qui chaque jour va de mal en pis
Projette même de détruire mon empire
Ou mes envies de sauver le monde
Alors que même dans ma famille
J'ai du mal à unir tout le monde
Seul comme Kem's,
Mon perroquet que j'aime tant
Mais qui dans sa cage,
Passait tout seul la plupart du temps
Seul mais évitant
Les propos compromettants
M'écartant de ces choses
Qu'on vous promet tant
Seul comme face à mon adversaire
Ou comme, à la plupart
De mes anniversaires
Seules sont ces familles
Abandonnées à elles-mêmes
Seules sont nos mères, affectées par
La disparition prématurée de nos pères
Mais qui malgré tout, nous encouragent
À ne jamais perdre de repères
Seul je serai un jour dans ce linceul
Aussi vrai que l'on naît et on meurt
Seul
Credits
Writer(s): Mboumba Franck
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