100 jours, 3 heures, 24 secondes

Non, ce n'est pas la fin du monde;
Y en a tant d'autres qu'ont vécu ça.
Cent jours, trois heures, vingt-quatre secondes –
Vingt-cinq, maintenant – que t'es plus là.

Et les jours passent, semblables et sans saveur;
Rien ne remplace ton odeur.
Parfois je crois que je vais devenir fou
À force de penser à nous...

Et le temps passe, rien ne t'efface; je rêve toujours que tu reviens,
Mais dans la glace, triste surface, il n'y a que moi et mon chagrin,
Là où se tenait ton visage, blotti contre le mien...

Non, ce n'est pas que je t'en veuille;
Je sais bien que l'on n'y peut rien.
L'amour bien sûr a cet écueil
Qu'il doit un jour connaître une fin.

Et les jours passent, semblables et sans couleur;
Rien ne remplace tes humeurs.
Et tous les beaux discours ne servent à rien;
Je veux juste retrouver ta main...

Et le temps passe, rien ne t'efface; je rêve toujours que tu reviens,
Mais dans la glace, reflet tenace, il n'y a que moi et mon chagrin,
Là où se tenait ton visage, blotti contre le mien...

Et le temps passe, le temps se lasse,
Et c'est toujours le même refrain;
Là, sur la place, le vent pourchasse
Les feuilles mortes du matin.
Oui, le temps passe, rien ne t'efface;
Je rêve toujours que tu reviens,
Mais dans la glace, triste surface,
Il n'y a que moi et mon chagrin...

(Rien ne t'efface, rien non, rien ne te remplace,)
(Ne t'efface, rien non, rien ne te remplace,)
(Ne t'efface, rien non, rien ne te remplace,)

Et le temps passe, rien ne t'efface; je rêve toujours que tu reviens...

(Ne t'efface, rien non, rien ne te remplace.)

Et sur la place le vent pourchasse les feuilles mortes du matin...

(Rien ne t'efface, rien non, rien ne te remplace.)

Je rêve toujours que tu reviens...



Credits
Writer(s): Ludovic Lefèvre
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