L' ode

À porter poids, j'en perd c'est l' délire...
Quand l'encre forme tes formes, j' prends,
Au fleuret feuillets sans t'embellir;
Ma prose appose portants...
À porter poids, j'en perd c'est l'délire...
Quand l'encre forme tes formes, j' prends,
Au fleuret feuillets sans t'embellir;
Ma prose appose portants...

Sans la croiser à l'hôtel,
Une nuit j'étouffe devant le local.
Ma corde boue je part en thème,
En si peu d'accord parental...
Elle me pince et parle aux saints,
Dans mes doigts lourde, elle règle son,
Du déclin je garde le teint,
Des fois j'avoue j'aime perdre le ton...
J'aime pas son délire...
Son éloquence d'apparence saine;
Moi qui fourrait ballotins,
Hautains là je douche et pars en scène...
Le "J" de jeux n'est pas danse, elle
En gît de "JE", me parle en PAL.
Lits je gèle de carences d'aimer,
Crois moi la touche n'est pas rempart...
À l'aube d'une Ode, étrangement,
J'ai vu ces voix, je m'en résine.
J'en écrit l'O.D et franchement,
Images de toi, s'en dessinent...
À plus d'un doute, j'épargne son,
La vue de ta couche part en cendres
Même si l'orage à vernis cieux...
J'en fût la touché, mord en sanglots;
Dans mes rêves on part ensemble
Si je vois tes cils sans fermer yeux...

À porter poids, j'en perd c'est l' délire...
Quand l'encre forme tes formes, j' prends,
Au fleuret feuillets sans t'embellir;
Ma prose appose portants...
À porter poids, j'en perd c'est l'délire...
Quand l'encre forme tes formes, j' prends,
Au fleuret feuillets sans t'embellir;
Ma prose appose portants...

Ces linges sur lit ont gardé formes.
Quand lames arrivent de part le fond...
Dans ces murmures je parle fort,
J'écris sans rire, et d'insolence
Nous étions riches sans parler fonds...
Ici l'estuaire sent la Toussaint,
Suaire de sueur sous l'oreiller.
Là j' me la fout, je veux rien de tout ça.
Ok Je t'en veux j' peux peindre tout ça,
Mais sans que ma bouche vienne s'enrayer...
Si ma brise en est emprunt
Que légende d'automne en fasse les frais;
Printemps s'effacent, hivers sans fin
Quand alliance ne passe l'été...
À fermer boucle, laisse entrain,
Au main de ces doutes, je place des craies.
J'en ai fuit toutes ces laisses en crin,
Portes à l'âme trous, j' repasse métrer...
Crois moi tu manques à tout ces traits.
Parfois j'ai croisé quelque routes...
Sur les pochoirs de tout ce qui m' crée,
De toi j'y verserai quelques gouttes...

À porter poids, j'en perd c'est l' délire...
Quand l'encre forme tes formes, j' prends,
Au fleuret feuillets sans t'embellir;
Ma prose appose portants...
À porter poids, j'en perd c'est l'délire...
Quand l'encre forme tes formes, j' prends,
Au fleuret feuillets sans t'embellir;
Ma prose appose portants...



Credits
Writer(s): David Veiga, Andre Neves, Nicolas Tatopoulos
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