Roses
Au clair de lune elle s'est ouverte,
Elle use à l'excès.
Mate, à la prise est épineuse
Elle met la muse à l'essai.
Au teint d'humeur sont ses pétales,
L'aurore est froide et thématique...
A chaque envoi sur ses semblables,
Comprends que sa valse est schématique...
Dans un vase, elle balise,
Elle pâle, isole penchants.
Pas miso, elle m'a mise
Une Camisole quand je chante.
Tant de magnésie, la briser?
Déjà le lisier est en cendres...
Mêlant braises et vent d'alizé
Où sa brise t'enchante.
Sa corolle est vandalisée,
Mais l' calice est en chanvre!
À fuir l'ombre comme un artiste,
Elle cristallisait temps chancres!
Hait Lumen, est en chambre,
Met Limbes et l'encre en bon termes...
Hey sent la flanquée d'un flingue
À Floquer feuilles de crises en thèmes!
Cherche senteurs d'amnésies,
Bouquet d' splendeur en vision.
Symbole de paix, simplet si
S'imprègne de traîtres; en fictions
Une seule offrande s'apprécie,
Quand elle dépasse Narcisse;
Flattée, de couleurs sera le récit
Quand d'elle nos lits j' tapisse...
Érosif là je t'offre une rose...
L' orangé penche étrangement...
Au rouge, au jaune de voir ces pots...
J'ai le pollen rongé et ça c' n'est qu' prose,
L'hypogée posée franchement...
Érosif là je t'offre une rose...
L' orangé penche étrangement...
Au rouge, au jaune de voir ces pots...
J'ai le pollen rongé et ça c' n'est qu' prose,
L'hypogée posée franchement...
J'en fus des fois sempiternel,
J' vois rose de sables au rouages liés.
Si bleuets semblent éternels,
D'œillets j'en reste fou à lier.
Début de croissance de cyclamens
Sans clématites pour alliées;
Enviant l' battement d'hirondelle
Sur roses des vents, cherche où aller...
Asséchées sources de par ces cieux,
Allée des roses, des marronniers,
Gens perdent rosée de par ces yeux!
Faune a fait naître parolier;
Érosif là je t'offre une rose...
Au fleuret cueillie, sera déposée
À en fleurir prod de classe messieurs...
Érosif là je t'offre une rose...
L' orangé penche étrangement...
Au rouge, au jaune de voir ces pots...
J'ai le pollen rongé et ça c' n'est qu' prose,
L'hypogée posée franchement...
Érosif là je t'offre une rose...
L' orangé penche étrangement...
Au rouge, au jaune de voir ces pots...
J'ai le pollen rongé et ça c' n'est qu' prose,
L'hypogée posée franchement...
Elle use à l'excès.
Mate, à la prise est épineuse
Elle met la muse à l'essai.
Au teint d'humeur sont ses pétales,
L'aurore est froide et thématique...
A chaque envoi sur ses semblables,
Comprends que sa valse est schématique...
Dans un vase, elle balise,
Elle pâle, isole penchants.
Pas miso, elle m'a mise
Une Camisole quand je chante.
Tant de magnésie, la briser?
Déjà le lisier est en cendres...
Mêlant braises et vent d'alizé
Où sa brise t'enchante.
Sa corolle est vandalisée,
Mais l' calice est en chanvre!
À fuir l'ombre comme un artiste,
Elle cristallisait temps chancres!
Hait Lumen, est en chambre,
Met Limbes et l'encre en bon termes...
Hey sent la flanquée d'un flingue
À Floquer feuilles de crises en thèmes!
Cherche senteurs d'amnésies,
Bouquet d' splendeur en vision.
Symbole de paix, simplet si
S'imprègne de traîtres; en fictions
Une seule offrande s'apprécie,
Quand elle dépasse Narcisse;
Flattée, de couleurs sera le récit
Quand d'elle nos lits j' tapisse...
Érosif là je t'offre une rose...
L' orangé penche étrangement...
Au rouge, au jaune de voir ces pots...
J'ai le pollen rongé et ça c' n'est qu' prose,
L'hypogée posée franchement...
Érosif là je t'offre une rose...
L' orangé penche étrangement...
Au rouge, au jaune de voir ces pots...
J'ai le pollen rongé et ça c' n'est qu' prose,
L'hypogée posée franchement...
J'en fus des fois sempiternel,
J' vois rose de sables au rouages liés.
Si bleuets semblent éternels,
D'œillets j'en reste fou à lier.
Début de croissance de cyclamens
Sans clématites pour alliées;
Enviant l' battement d'hirondelle
Sur roses des vents, cherche où aller...
Asséchées sources de par ces cieux,
Allée des roses, des marronniers,
Gens perdent rosée de par ces yeux!
Faune a fait naître parolier;
Érosif là je t'offre une rose...
Au fleuret cueillie, sera déposée
À en fleurir prod de classe messieurs...
Érosif là je t'offre une rose...
L' orangé penche étrangement...
Au rouge, au jaune de voir ces pots...
J'ai le pollen rongé et ça c' n'est qu' prose,
L'hypogée posée franchement...
Érosif là je t'offre une rose...
L' orangé penche étrangement...
Au rouge, au jaune de voir ces pots...
J'ai le pollen rongé et ça c' n'est qu' prose,
L'hypogée posée franchement...
Credits
Writer(s): 90's Beats, Nicolas Tatopoulos, Nilson Soares Gonçalves
Lyrics powered by www.musixmatch.com
Link
Other Album Tracks
© 2024 All rights reserved. Rockol.com S.r.l. Website image policy
Rockol
- Rockol only uses images and photos made available for promotional purposes (“for press use”) by record companies, artist managements and p.r. agencies.
- Said images are used to exert a right to report and a finality of the criticism, in a degraded mode compliant to copyright laws, and exclusively inclosed in our own informative content.
- Only non-exclusive images addressed to newspaper use and, in general, copyright-free are accepted.
- Live photos are published when licensed by photographers whose copyright is quoted.
- Rockol is available to pay the right holder a fair fee should a published image’s author be unknown at the time of publishing.
Feedback
Please immediately report the presence of images possibly not compliant with the above cases so as to quickly verify an improper use: where confirmed, we would immediately proceed to their removal.