Black Polyphia

J'ai écrit la nuit
Les lumières donnent sur la ville
De temps en temps j'y vois un visage je ne suis qu'une cible
De bon desseins dans un cœur vil
C'est l'histoire de ma vie
Il y a mes docks qui heurtent le bitume
Dans le ciel un regard se dilue
Mes pas marquent les kicks du son
Là je process ce que je ressens, je le figure
Une vie dure
Ouais
Mais un avenir j'espère
Des actes teintés de fiel on te dira "ces gars laisse les"
Les mécaniques s'embrayent si vite
On m'a promis un trésor de pyrite
Des pyramides parsèment l'empire
Il y a pire l'ami beaucoup de visions sont empiriques
Et ça ne fait qu'empirer tu le vois aux teintes
Un manque de lumière a terni nos teints
Des rapports inégaux ont rongé nos freins
Que faire du début quand on a vu la fin
L'eau était verte et pleine de mensonges
Mais la ville était belle comme dans un rêve
Un corps étranger dans ses arêtes
Encore étranglé qui l'achève ou qui l'arrête
Personne
L'agonie fini par faire partie de la routine
Pour vivre je ne sais que souffrir
Vos vices sont mes sous-fifres
Tu verras, j'ai compris que personne sauvera personne
Leur propre ossature les perfore
Je ressens un truc et ça me perturbe
L'amour m'effraie, je me ressens mieux dans l'indifférence
T'as maudit le ciel d'être née si différente
Tu connais le scénar, on a tisé, je chante
Des paroles qui soignent mon âme en dilettante

Je me ballade dans une nuit teintée de noir et d'ocre
Un troisième œil
Je regarde le monde
Je regarde le rêve d'Azatoth
L'air est froid et je lâche un rire
Qui devine ce que mon ventre coffre
Je suis qu'un énième cauchemar dans le grand rêve d'Azatoth
Je me ballade dans une nuit teintée de noir et d'ocre
Un troisième œil
Je regarde le monde
Je regarde le rêve d'Azatoth
L'air est froid et je lâche un rire
Qui devine ce que mon ventre coffre
Je suis qu'un énième cauchemar dans le grand rêve d'Azatoth
Je me ballade dans une nuit teintée de noir et d'ocre
Un troisième œil
Je regarde le monde
Je regarde le rêve d'Azatoth
L'air est froid et je lâche un rire
Qui devine ce que mon ventre coffre
Je suis qu'un énième cauchemar dans le grand rêve d'Azatoth



Credits
Writer(s): Naël Morand
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