Mine
Il y a tes gens qui me matent
Dis leur d'arrêter ça me dérange
J'ai toujours la rage
Beaucoup de rêves où je les démembre
Il y a que le gent qui me calme
Et quand je vois ma douce le dimanche
Je planche sous l'asphalte car rien de valeur sur le ciment
Le soir quand je sors de la mine
Je regarde les lueurs de la ville
Je me demande sans cesse si je n'y arrive pas
Qui pensera à moi
Qui pensera à moi
Le soir quand je sors
Je regarde les lueurs
Je me demande sans cesse si je n'y arrive pas
Qui pensera à moi
Qui pensera à moi
Imagine on perce imagine on perd tout
Peu de chose qui me reste, plus grand chose à perdre
Chaque jour qui passe la fatigue me perfore
Mais le temps passe n'attend pas les rêves
Cette année je le fais, je disparais, je m'élève
Trop souvent le smile disparaît de mes lèvres
Je compte plus mes failles, je compte plus mes pertes
Produit la concrète que le monde prélève
On continue à se battre en silence
Je vois des fissures qui lézardent la dalle de ciment
Sous terre je m'endurcis comme un fossile
Je me tue à la tâche je le fais facilement
Imagine on perce cette année
Mes acolytes ont du potentiel je le perçois
Imagine on perce jamais
Imagine je me perds
Pendant ce temps il y a tes gens qui me matent
Dis leur d'arrêter ça me dérange
J'ai toujours la rage
Beaucoup de rêves où je les démembre
Il y a que le gent qui me calme
Et quand je vois ma douce le dimanche
Je planche sous l'asphalte car rien de valeur sur le ciment
Le soir quand je sors de la mine
Je regarde les lueurs de la ville
Je me demande sans cesse si je n'y arrive pas
Qui pensera à moi
Qui pensera à moi
Le soir quand je sors de la mine
Je regarde les lueurs de la ville
Je me demande sans cesse si je n'y arrive pas
Qui pensera à moi
Qui pensera à moi
Il y a tes gens qui me matent
Dis leur d'arrêter ça me dérange
J'ai toujours la rage
Beaucoup de rêves où je les démembre
Il y a que le gent qui me calme
Et quand je vois ma douce le dimanche
Je planche sous l'asphalte car rien de valeur sur le ciment
Le soir quand je sors de la mine
Je regarde les lueurs de la ville
Je me demande sans cesse si je n'y arrive pas
Qui pensera à moi
Qui pensera à moi
Dis leur d'arrêter ça me dérange
J'ai toujours la rage
Beaucoup de rêves où je les démembre
Il y a que le gent qui me calme
Et quand je vois ma douce le dimanche
Je planche sous l'asphalte car rien de valeur sur le ciment
Le soir quand je sors de la mine
Je regarde les lueurs de la ville
Je me demande sans cesse si je n'y arrive pas
Qui pensera à moi
Qui pensera à moi
Le soir quand je sors
Je regarde les lueurs
Je me demande sans cesse si je n'y arrive pas
Qui pensera à moi
Qui pensera à moi
Imagine on perce imagine on perd tout
Peu de chose qui me reste, plus grand chose à perdre
Chaque jour qui passe la fatigue me perfore
Mais le temps passe n'attend pas les rêves
Cette année je le fais, je disparais, je m'élève
Trop souvent le smile disparaît de mes lèvres
Je compte plus mes failles, je compte plus mes pertes
Produit la concrète que le monde prélève
On continue à se battre en silence
Je vois des fissures qui lézardent la dalle de ciment
Sous terre je m'endurcis comme un fossile
Je me tue à la tâche je le fais facilement
Imagine on perce cette année
Mes acolytes ont du potentiel je le perçois
Imagine on perce jamais
Imagine je me perds
Pendant ce temps il y a tes gens qui me matent
Dis leur d'arrêter ça me dérange
J'ai toujours la rage
Beaucoup de rêves où je les démembre
Il y a que le gent qui me calme
Et quand je vois ma douce le dimanche
Je planche sous l'asphalte car rien de valeur sur le ciment
Le soir quand je sors de la mine
Je regarde les lueurs de la ville
Je me demande sans cesse si je n'y arrive pas
Qui pensera à moi
Qui pensera à moi
Le soir quand je sors de la mine
Je regarde les lueurs de la ville
Je me demande sans cesse si je n'y arrive pas
Qui pensera à moi
Qui pensera à moi
Il y a tes gens qui me matent
Dis leur d'arrêter ça me dérange
J'ai toujours la rage
Beaucoup de rêves où je les démembre
Il y a que le gent qui me calme
Et quand je vois ma douce le dimanche
Je planche sous l'asphalte car rien de valeur sur le ciment
Le soir quand je sors de la mine
Je regarde les lueurs de la ville
Je me demande sans cesse si je n'y arrive pas
Qui pensera à moi
Qui pensera à moi
Credits
Writer(s): Naël Morand
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