Espace clos
Perdu dans mon dédale s'annulait ma vertu
La lumière de l'amertume de l'âme humaine allumait la serrure
Restreint par son aspect glauque
L'ironie d'être casanier pour esquiver ces espaces clos
Est-ce parce que ma jeunesse passe
Que je n'm'esclaffe plus autant qu'avant?
Dans mon esprit je sens que mon avancée stagne
Enfermé dans mon espace, j'ai préféré me décharger du rôle d'esclave
L'âme égarée, je m'isole et parait calmé
Car j'ai l'esprit camisolé dans mon armure
Blasé, le sang glacé par la raison
Je sens que j'vais passer les quatre saisons cloîtré entre quatre murs
Ceux de ma tête, en effet je m'enferme
Proche des feux de l'enfer, j'ai perdu des proches à défaut de m'en faire
Seul Dieu m'arrête, j'ai une peur bleue de l'homme et de la foule
Mais je savoure avant que mon cœur ne s'arrête
La solitude m'entoure et m'encourage à vite m'engouffrer loin de tout
Je coupe les ponts car en restant poli tu te rends sourd
En outre la vie me saoule, on me trouvera surement fou
Sauf que je me retire pour que les gens que j'aime se demandent où j'rôde
Je préfère me placer au-dessus de ces vestiges
Tej vers une terre mère qui me préserve des préceptes sectaires, est-ce le vertige?
J'aimerais que naisse un être singulier, mais les liens sanguins ne font que m'affubler
Des lois du colisée, m'éloigne alcoolisé, les poids du collier joignent bêtes et poings liés
Les cases m'attirent, mènent à la fatigue car castratrices
L'usinage de l'encéphale affale les foules, renforce les faibles par catharsis
Puiser vers le bas pour enfler l'accalmie, j'accumule les débats, débarque la panique
Soulevant les barrières j'annihilerai les bannières, améliorant ma tanière face à l'aphasie
Je sais que je n'ai qu'une vie
Difficile d'apprécier l'air d'une ville
Mon crâne est ma prison, à présent ce n'est qu'du vide
Je suis prisonnier de mes cellules grises
Je ne remonte pas ni ne suis le courant
En dehors de l'eau j'endosse le rôle d'épouvantail
Tous les autres par le seul mouvement
De celui de m'émerger de traitres sables mouvants
Parqué dans des enclos, l'homme est un loup pour l'hôte
Hâté par la fuite, salivent ses grands crocs
Parqué dans des enclos, l'homme est un loup pour l'hôte
Hâté par la fuite, salivent ses grands crocs
Parqué dans des enclos, l'homme est un loup pour l'hôte
Hâté par la fuite, salivent ses grands crocs
Parqué dans des enclos, l'homme est un loup pour l'hôte
Hâté par la fuite, salivent ses grands crocs
La lumière de l'amertume de l'âme humaine allumait la serrure
Restreint par son aspect glauque
L'ironie d'être casanier pour esquiver ces espaces clos
Est-ce parce que ma jeunesse passe
Que je n'm'esclaffe plus autant qu'avant?
Dans mon esprit je sens que mon avancée stagne
Enfermé dans mon espace, j'ai préféré me décharger du rôle d'esclave
L'âme égarée, je m'isole et parait calmé
Car j'ai l'esprit camisolé dans mon armure
Blasé, le sang glacé par la raison
Je sens que j'vais passer les quatre saisons cloîtré entre quatre murs
Ceux de ma tête, en effet je m'enferme
Proche des feux de l'enfer, j'ai perdu des proches à défaut de m'en faire
Seul Dieu m'arrête, j'ai une peur bleue de l'homme et de la foule
Mais je savoure avant que mon cœur ne s'arrête
La solitude m'entoure et m'encourage à vite m'engouffrer loin de tout
Je coupe les ponts car en restant poli tu te rends sourd
En outre la vie me saoule, on me trouvera surement fou
Sauf que je me retire pour que les gens que j'aime se demandent où j'rôde
Je préfère me placer au-dessus de ces vestiges
Tej vers une terre mère qui me préserve des préceptes sectaires, est-ce le vertige?
J'aimerais que naisse un être singulier, mais les liens sanguins ne font que m'affubler
Des lois du colisée, m'éloigne alcoolisé, les poids du collier joignent bêtes et poings liés
Les cases m'attirent, mènent à la fatigue car castratrices
L'usinage de l'encéphale affale les foules, renforce les faibles par catharsis
Puiser vers le bas pour enfler l'accalmie, j'accumule les débats, débarque la panique
Soulevant les barrières j'annihilerai les bannières, améliorant ma tanière face à l'aphasie
Je sais que je n'ai qu'une vie
Difficile d'apprécier l'air d'une ville
Mon crâne est ma prison, à présent ce n'est qu'du vide
Je suis prisonnier de mes cellules grises
Je ne remonte pas ni ne suis le courant
En dehors de l'eau j'endosse le rôle d'épouvantail
Tous les autres par le seul mouvement
De celui de m'émerger de traitres sables mouvants
Parqué dans des enclos, l'homme est un loup pour l'hôte
Hâté par la fuite, salivent ses grands crocs
Parqué dans des enclos, l'homme est un loup pour l'hôte
Hâté par la fuite, salivent ses grands crocs
Parqué dans des enclos, l'homme est un loup pour l'hôte
Hâté par la fuite, salivent ses grands crocs
Parqué dans des enclos, l'homme est un loup pour l'hôte
Hâté par la fuite, salivent ses grands crocs
Credits
Writer(s): David Maillot
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