Bâtiments vides

On cherche à construire des ailleurs qui ne viendraient pas de nulle part
Rester proche malgré la distance

À faire durer jusqu'à pas d'heure tous ces vendredis soirs
Parfois la routine est la plus belle

Génération des inglorieuses contre la fin de l'histoire
Tout le pouvoir au penyes

Au cœur du réacteur et pourtant tu sais que c'est là qu'il faut être

Des bâtiments vides qui tranchent la ville
Quand t'es seul elle n'est plus qu'un amas de ruines
Des corps qui s'évitent et tournoient dans le vide sans arrêt
Des bâtiments tristes entourés par des grilles
Les regards se croisent à l'affût d'un sourire
Nostalgie des absents quand leurs gestes te reviennent

Chagrins d'amour des fils de partisans
73 jours danse sur la neige blanche
Ta vie désormais si elle dure contiendra ça toujours
Éloge de la suite commence par le milieu

Au cœur du réacteur et pourtant tu sais que c'est là qu'il faut être

Des bâtiments vides qui tranchent la ville
Quand t'es seul elle n'est plus qu'un amas de ruines
Des corps qui s'évitent et tournoient dans le vide sans arrêt
Des bâtiments tristes entourés par des grilles
Les regards se croisent à l'affût d'un sourire
Nostalgie des absents quand leurs gestes te reviennent

Des bâtiments vides et les cernes font tâches d'huile
Des bâtiments tristes sur un fil en équilibre



Credits
Writer(s): Lylian Couapel, Olivier Jouneau
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