Les pin-up du pauvre
Moi j'ai toujours eu peur des gonzesses du grand monde
Filles à papa du couvent des oiseaux de proie
Marquises de Prisunic, Dianes de la rue d'la Pompe
Qui draguent sur le Gotha les maris couche-moi là
J'ai toujours préféré les princesses de misère
Les reines de terrain vague, les Pénélopes d'un mois
Les voyouses qui avaient passé à la barrière
Leurs 32 bacs d'amour et leur certificat
Je me souviens Nini, Nana, Ninon, Nénette
Je me souviens Chantal, je me souviens mes belles
Avec le bouche-à-bouche, comme on faisait ficelle
Pour sauver le bonheur qui fuit à tire-d'aile
Moi j'ai toujours aimé les belles de clair de lune
Petites saintes qui s'touchent, orchidées du bitume
Allumeuses qui parent avec un goût pour l'pognon
Tricotent à la main du printemps toute saison
Je ne peux pas lutter, c'est dans mon horoscope
Il suffit d'une chanson d'amour que l'vent me poste
Ma morale prend la porte, et mon âme légère
S'envole au clair de chair d'une pin-up de barrière
Je me souviens, Nana, Éliane, et toi, Odette
De ta voix de regrets, moulin de la Galette
Je me souviens de vous, dont j'ai perdu le nom
Dans je n'sais plus quelle ville, je ne sais plus quelle saison
Je me souviens, je me souviens mes belles
Filles à papa du couvent des oiseaux de proie
Marquises de Prisunic, Dianes de la rue d'la Pompe
Qui draguent sur le Gotha les maris couche-moi là
J'ai toujours préféré les princesses de misère
Les reines de terrain vague, les Pénélopes d'un mois
Les voyouses qui avaient passé à la barrière
Leurs 32 bacs d'amour et leur certificat
Je me souviens Nini, Nana, Ninon, Nénette
Je me souviens Chantal, je me souviens mes belles
Avec le bouche-à-bouche, comme on faisait ficelle
Pour sauver le bonheur qui fuit à tire-d'aile
Moi j'ai toujours aimé les belles de clair de lune
Petites saintes qui s'touchent, orchidées du bitume
Allumeuses qui parent avec un goût pour l'pognon
Tricotent à la main du printemps toute saison
Je ne peux pas lutter, c'est dans mon horoscope
Il suffit d'une chanson d'amour que l'vent me poste
Ma morale prend la porte, et mon âme légère
S'envole au clair de chair d'une pin-up de barrière
Je me souviens, Nana, Éliane, et toi, Odette
De ta voix de regrets, moulin de la Galette
Je me souviens de vous, dont j'ai perdu le nom
Dans je n'sais plus quelle ville, je ne sais plus quelle saison
Je me souviens, je me souviens mes belles
Credits
Writer(s): Marcel Mouloudji, Gabriel Wagenheim
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