Esprits Libres
Car rien ne changera si on compte sur les pessimistes, cousin!
Arrête de me juger, qui que tu sois et d'où qu'tu viennes
Parce que l'on vient d'un quartier ou qu'on veut bousculer leur règne
Parce qu'on est libres et rebelles
Candides mais sur les nerfs
Calmes comme le temps ou d'un tempérament nucléaire
Oui, nous sommes l'intrigue aux frontières du réel
Porteurs d'un dernier souffle
Regarde dehors ce que la rue s'révèle
La mauvaise foi, au rang du réveil
Croire en elle c'est comme parler de solidarité avec un gars du MEDEF
Ca sert à rien, ça s'appelle se voiler la face
Quand l'ignorance se cache derrière son ignorance avare
Il en devient virulent, violent, défenseur de vos rangs
S'accrochant à toutes vos romances, dévorant tout sur son passage
Nous, nous sommes le brassage
L'alliage du cœur et d'la rage
D'la base et d'la marge, nous on fait trembler vos palaces
Voici les trublions, on changera le monde que vous le vouliez ou non
Car c'est notre destin et que l'histoire nous donnera raison!
Écartez vous si vous êtes trop lâches pour voir la vérité
Laissez passer les esprits libres
Lignée de ceux qui renverseront l'histoire
On ne changera pas le monde si on compte sur les pessimistes
Alors fermez la maintenant, on en a marre de votre poison
V'nus faire péter les cloisons, car c'est l'heure de la moisson
Fermez-la maintenant, bande de propageurs de vibes sombres
Fermez-la maintenant!
Pourquoi tu nous prend d'haut?
Sors de ta bulle et on en reparle
On construit pour mieux faire trembler leurs remparts
Sache que la beauté de la vie dépend de ton regard
Et qu'lorsqu'un proche part à jamais non y a jamais d'au revoir
Tout part en live et ça prétend qu'c'est normal
C'est vos rêves qu'ont fait ce monde et il ressemble à un cauchemar
Ne nous fait pas la morale si tu as la tête de leur format
Le cœur qui fait trop mal
Tu comprends pas, normal, le tiens est dans le coma
Après des siècles de trauma le flambeau n'est pas éteint
Il a traversé les siècles et on est plein
On a vu la bête essayer de nous étreindre
Elle est sortie de vos têtes pour nous enfermer dans l'écrin
Son vice on le connaît bien, ça fait un baille qu'il s'est trahi
Le système n'est qu'une abomination qui s'est bâtie
Sur les plus faibles, voué à s'écrouler, allez leur dire!
Mais qui peut être heureux quand tout le vivant est meurtri?
On entend que vous depuis des siècles
Votre parole est monopole
Pédagogie garde à vous, pensée unique et holocauste
Vous êtes en nous, nous sommes en vous puisqu'on est l'autre
Ressurgi des vieux bûchers car aujourd'hui sera notre époque
Donc on s'exprime et nos idées résonnent
Partout, parce qu'on porte le même cœur
Et qu'on s'est reconnu dans l'autre
Bande de sorciers, ça fait un baille que vos mots nous endorment
Arrivent à corrompre les nôtres jusqu'à voir l'enfer prendre forme
Mais voici l'temps des révélations
Qu'ils veuillent ou non, la dernière génération
Avant autre chose, la chute ou l'élévation
On a envers vous aucune vénération
Sans l'accélération, l'passage aura la couleur de sa considération
C'est la guerre des esprits, conquête des imaginaires
On arrive à l'heure du choix, à la croisée des chemins
Le choix d'une civilisation, il y a longtemps partie en quête
Face à son propre destin
Arrête de me juger, qui que tu sois et d'où qu'tu viennes
Parce que l'on vient d'un quartier ou qu'on veut bousculer leur règne
Parce qu'on est libres et rebelles
Candides mais sur les nerfs
Calmes comme le temps ou d'un tempérament nucléaire
Oui, nous sommes l'intrigue aux frontières du réel
Porteurs d'un dernier souffle
Regarde dehors ce que la rue s'révèle
La mauvaise foi, au rang du réveil
Croire en elle c'est comme parler de solidarité avec un gars du MEDEF
Ca sert à rien, ça s'appelle se voiler la face
Quand l'ignorance se cache derrière son ignorance avare
Il en devient virulent, violent, défenseur de vos rangs
S'accrochant à toutes vos romances, dévorant tout sur son passage
Nous, nous sommes le brassage
L'alliage du cœur et d'la rage
D'la base et d'la marge, nous on fait trembler vos palaces
Voici les trublions, on changera le monde que vous le vouliez ou non
Car c'est notre destin et que l'histoire nous donnera raison!
Écartez vous si vous êtes trop lâches pour voir la vérité
Laissez passer les esprits libres
Lignée de ceux qui renverseront l'histoire
On ne changera pas le monde si on compte sur les pessimistes
Alors fermez la maintenant, on en a marre de votre poison
V'nus faire péter les cloisons, car c'est l'heure de la moisson
Fermez-la maintenant, bande de propageurs de vibes sombres
Fermez-la maintenant!
Pourquoi tu nous prend d'haut?
Sors de ta bulle et on en reparle
On construit pour mieux faire trembler leurs remparts
Sache que la beauté de la vie dépend de ton regard
Et qu'lorsqu'un proche part à jamais non y a jamais d'au revoir
Tout part en live et ça prétend qu'c'est normal
C'est vos rêves qu'ont fait ce monde et il ressemble à un cauchemar
Ne nous fait pas la morale si tu as la tête de leur format
Le cœur qui fait trop mal
Tu comprends pas, normal, le tiens est dans le coma
Après des siècles de trauma le flambeau n'est pas éteint
Il a traversé les siècles et on est plein
On a vu la bête essayer de nous étreindre
Elle est sortie de vos têtes pour nous enfermer dans l'écrin
Son vice on le connaît bien, ça fait un baille qu'il s'est trahi
Le système n'est qu'une abomination qui s'est bâtie
Sur les plus faibles, voué à s'écrouler, allez leur dire!
Mais qui peut être heureux quand tout le vivant est meurtri?
On entend que vous depuis des siècles
Votre parole est monopole
Pédagogie garde à vous, pensée unique et holocauste
Vous êtes en nous, nous sommes en vous puisqu'on est l'autre
Ressurgi des vieux bûchers car aujourd'hui sera notre époque
Donc on s'exprime et nos idées résonnent
Partout, parce qu'on porte le même cœur
Et qu'on s'est reconnu dans l'autre
Bande de sorciers, ça fait un baille que vos mots nous endorment
Arrivent à corrompre les nôtres jusqu'à voir l'enfer prendre forme
Mais voici l'temps des révélations
Qu'ils veuillent ou non, la dernière génération
Avant autre chose, la chute ou l'élévation
On a envers vous aucune vénération
Sans l'accélération, l'passage aura la couleur de sa considération
C'est la guerre des esprits, conquête des imaginaires
On arrive à l'heure du choix, à la croisée des chemins
Le choix d'une civilisation, il y a longtemps partie en quête
Face à son propre destin
Credits
Writer(s): Jimmy Mulamba Waiki, Victorie Barbara Laure Monnier, Sebastien Gryspeert
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