Entre les lignes #1: Car nous sommes le monde
Hé, j'me sens impuissante
Petite goutte dans l'océan
Si vaste est l'espace, qu'on s'est comme perdus dans ses méandres
Aspirés par le néant
On a vu le poison se répandre
On l'a vu quand on était mômes
Chez l'autre, l'incarne-t-on maintenant qu'on est grand
Mélancolie des temps modernes
Y a qu'des nœuds dans nos racines
Un pic, un vide éternel
Qui se donne raison à chaque fois que l'on vacille
Ils sont morts nos modèles
Qui croire, depuis petits on nous bassine
Assis, ainsi sous le bûcher de nos rêves
Balafrés car nos larmes sont de l'acide
Ne pleure pas le passé, non
L'éphémère est un film (un film)
S'accrocher à ce qui a été
Est ce qui nous a rendu infirmes
Ils disent voir clair mais l'avenir a minci
Y a plus de retour en arrière
Le château de sable ne tient qu'à un fil
Ils disent que la vie est une barrière
Même lorsque l'on insiste
Ils disent que je sacrifie ma carrière
Moi je dis que je préserve mes principes
Diront que l'oiseau n'a pas d'ailes
Aveugles jusqu'à être racistes
Clamant Dieu, incarnant son blasphème
Te répliquant que le monde est ainsi
Alors partout ça s'indigne et rébellion
Comme un rayon de soleil qui nous crie
Qu'on est en vie et qu'on est des millions
L'esprit libre a surgit dans la ville pour sortir du silence.
Munit du noble courage de celui qui n'a
Plus rien à perdre en criant délivrance
Petite terre, petite France
Tu es si belle quand tu défends
La liberté des plus faibles
Contre la violence des plus grands
Les plus grands veulent te convaincre
Mais ils t'écrasent lorsque tu trembles
Le soleil brille pour tous
Que les rois de ce monde en prennent l'exemple
La douleur nous éventre
Si on ne transmute rien
Le cœur devient puissant seulement s'il relié au creux d'une main
Le vieux monde parti en cendre
Partira, je l'ai vu de loin
On enlèvera nos pierres
De leur édifice et les pavés du chemin
La vie est un mouvement éternel
L'inertie, c'est la mort
Je vis chaque journée comme la dernière
Car chaque jour elle se rapproche
Enfant de la Terre Mère
Oui on vaincra le sale sort
En face de leur mensonge de pierre
De leur violence, faudra que l'on soit fort
Petite goutte dans l'océan
Si vaste est l'espace, qu'on s'est comme perdus dans ses méandres
Aspirés par le néant
On a vu le poison se répandre
On l'a vu quand on était mômes
Chez l'autre, l'incarne-t-on maintenant qu'on est grand
Mélancolie des temps modernes
Y a qu'des nœuds dans nos racines
Un pic, un vide éternel
Qui se donne raison à chaque fois que l'on vacille
Ils sont morts nos modèles
Qui croire, depuis petits on nous bassine
Assis, ainsi sous le bûcher de nos rêves
Balafrés car nos larmes sont de l'acide
Ne pleure pas le passé, non
L'éphémère est un film (un film)
S'accrocher à ce qui a été
Est ce qui nous a rendu infirmes
Ils disent voir clair mais l'avenir a minci
Y a plus de retour en arrière
Le château de sable ne tient qu'à un fil
Ils disent que la vie est une barrière
Même lorsque l'on insiste
Ils disent que je sacrifie ma carrière
Moi je dis que je préserve mes principes
Diront que l'oiseau n'a pas d'ailes
Aveugles jusqu'à être racistes
Clamant Dieu, incarnant son blasphème
Te répliquant que le monde est ainsi
Alors partout ça s'indigne et rébellion
Comme un rayon de soleil qui nous crie
Qu'on est en vie et qu'on est des millions
L'esprit libre a surgit dans la ville pour sortir du silence.
Munit du noble courage de celui qui n'a
Plus rien à perdre en criant délivrance
Petite terre, petite France
Tu es si belle quand tu défends
La liberté des plus faibles
Contre la violence des plus grands
Les plus grands veulent te convaincre
Mais ils t'écrasent lorsque tu trembles
Le soleil brille pour tous
Que les rois de ce monde en prennent l'exemple
La douleur nous éventre
Si on ne transmute rien
Le cœur devient puissant seulement s'il relié au creux d'une main
Le vieux monde parti en cendre
Partira, je l'ai vu de loin
On enlèvera nos pierres
De leur édifice et les pavés du chemin
La vie est un mouvement éternel
L'inertie, c'est la mort
Je vis chaque journée comme la dernière
Car chaque jour elle se rapproche
Enfant de la Terre Mère
Oui on vaincra le sale sort
En face de leur mensonge de pierre
De leur violence, faudra que l'on soit fort
Credits
Writer(s): Jérémie Grégeois, Keny Arkana
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