Insurrection
J'viens déclamer ce texte contre les bandits de grands chemins
Les oligarques et politiques qui bâtissent le monde de demain
On prend l' bain avec des requins qui nous narguent
Se targuent, de tracer nos destins, l' sourire coupable
Des trous d' balles, enchainant les coups bas
On est tout pales, forcément les coups partent
Les écoutes pas c'est l' coup d'grace
Endoctrinés depuis l' bac à sable
Crois pas qu'c'est qu'une passade, non
Ces gens ne sont honnêtes qu'en façade
Prends une rasade de vérité, au pays des charlatans
Leurs arguments sont passables
Leurs prises de positions n'sont pas stables
Facile de vérifier qu'ils nous mettent à l'amende
Ça me rend malade, de voir à quel point on nous balade
Allume ton radar, prend garde au grand patronat
Si t'es un gibier sauvage, eux ils font du braconnage
Pris en otage, par des anthropophages
On casse les barreaux de la cage
On lâche le fardeau de la rage
C'est quand qu'on enferme les vrais criminels, qu'on les enterre
Qu'ils paient leur dette, et purgent leur peine en enfer
Qu'on mette les drapeaux en berne, et frappe la table d'un poing ferme
On trouvera un point faible, on les laissera pas indemnes
A trop se laisser faire, on trouve ça normal, on finit lassés
Plutôt que d'amasser les peines on voudrait les terrasser
Envie d'dire assez, de lancer nos torpilles dans leur cuirassé
Pirater l'industrie avant d'y passer
J'voudrais faire s'estomper les mirages mais j'laisse tomber
Trop s'laissent tromper, ou s'laissent dompter, ils sont dans l'cirage
Faudra négocier le virage, si on veux qu'nos vies aient l'effet escompté
Besoin de gestes concrets
Mais êtes vous prêts pour l' insurrection, ou encore trop aveugles
C'est qu'une suggestion parce-que j'vois que partout ça gueule
J'ouvre un œil et les deux oreilles, j'reste pas un spectateur qui dépense son oseille
J'coupe le cordon avec un sécateur
Les pourris qui nous dirigent sont des suppôts de Lucifer, ça me sidère qu'on les subisse
On risque gros et on s'y perd
Dans les coulisses, derrière les spots publicitaire
Les ministères courtisent les réfractaires qui délibèrent
Coincés dans les coursives, l'avenir une chimère
A l'agonie, on s'appauvrit sous le poison des vipères
Ils s'mettent le doigt dans l'œil ces politicos menteurs
La folie des grandeurs les mènera a leur perte, ils n'en font qu'a leur tête
De quoi attiser les rancœurs
Grand défenseurs de leurs pépètes, ils nous enverront paitre
Car à leur yeux, nous n'avons pas de vraie valeur
Ils nous baratinent, envie d'un nouveau paradigme
On est pas ravis, on demande quand même pas le paradis
Trop longtemps qu'on s'canalyse, écoute mon analyse
On nous paralyse, la crise se banalise
Ils s'font des retraites dorées, pendant que le monde s'enfonce
J'ai une requette, ou est-ce que j'peux trouver une roquette
Pour le yacht de bolloré et tous ces grands pontes
Ces mec qui s'prennent pour des prophètes seront frappés par une comète
Ils ont récoltés la colère, le sol est plein de bris de verre
Ils nous traitent comme de tristes merdes, ils vont entendre des cris de guerre
J'écris ce texte, puis je joue les filles de l'air
A remuer ciel et terre, je risque la crise de nerfs
C'est un bras d'fer qui nos oppose, on bat de l'aile, je lâche le fiel
Car c'est les reste qu'ils nous proposent
J'regarde le ciel, constate que l'osmose dans le cosmos
A épargné les hommes constamment en état de siège
Les oligarques et politiques qui bâtissent le monde de demain
On prend l' bain avec des requins qui nous narguent
Se targuent, de tracer nos destins, l' sourire coupable
Des trous d' balles, enchainant les coups bas
On est tout pales, forcément les coups partent
Les écoutes pas c'est l' coup d'grace
Endoctrinés depuis l' bac à sable
Crois pas qu'c'est qu'une passade, non
Ces gens ne sont honnêtes qu'en façade
Prends une rasade de vérité, au pays des charlatans
Leurs arguments sont passables
Leurs prises de positions n'sont pas stables
Facile de vérifier qu'ils nous mettent à l'amende
Ça me rend malade, de voir à quel point on nous balade
Allume ton radar, prend garde au grand patronat
Si t'es un gibier sauvage, eux ils font du braconnage
Pris en otage, par des anthropophages
On casse les barreaux de la cage
On lâche le fardeau de la rage
C'est quand qu'on enferme les vrais criminels, qu'on les enterre
Qu'ils paient leur dette, et purgent leur peine en enfer
Qu'on mette les drapeaux en berne, et frappe la table d'un poing ferme
On trouvera un point faible, on les laissera pas indemnes
A trop se laisser faire, on trouve ça normal, on finit lassés
Plutôt que d'amasser les peines on voudrait les terrasser
Envie d'dire assez, de lancer nos torpilles dans leur cuirassé
Pirater l'industrie avant d'y passer
J'voudrais faire s'estomper les mirages mais j'laisse tomber
Trop s'laissent tromper, ou s'laissent dompter, ils sont dans l'cirage
Faudra négocier le virage, si on veux qu'nos vies aient l'effet escompté
Besoin de gestes concrets
Mais êtes vous prêts pour l' insurrection, ou encore trop aveugles
C'est qu'une suggestion parce-que j'vois que partout ça gueule
J'ouvre un œil et les deux oreilles, j'reste pas un spectateur qui dépense son oseille
J'coupe le cordon avec un sécateur
Les pourris qui nous dirigent sont des suppôts de Lucifer, ça me sidère qu'on les subisse
On risque gros et on s'y perd
Dans les coulisses, derrière les spots publicitaire
Les ministères courtisent les réfractaires qui délibèrent
Coincés dans les coursives, l'avenir une chimère
A l'agonie, on s'appauvrit sous le poison des vipères
Ils s'mettent le doigt dans l'œil ces politicos menteurs
La folie des grandeurs les mènera a leur perte, ils n'en font qu'a leur tête
De quoi attiser les rancœurs
Grand défenseurs de leurs pépètes, ils nous enverront paitre
Car à leur yeux, nous n'avons pas de vraie valeur
Ils nous baratinent, envie d'un nouveau paradigme
On est pas ravis, on demande quand même pas le paradis
Trop longtemps qu'on s'canalyse, écoute mon analyse
On nous paralyse, la crise se banalise
Ils s'font des retraites dorées, pendant que le monde s'enfonce
J'ai une requette, ou est-ce que j'peux trouver une roquette
Pour le yacht de bolloré et tous ces grands pontes
Ces mec qui s'prennent pour des prophètes seront frappés par une comète
Ils ont récoltés la colère, le sol est plein de bris de verre
Ils nous traitent comme de tristes merdes, ils vont entendre des cris de guerre
J'écris ce texte, puis je joue les filles de l'air
A remuer ciel et terre, je risque la crise de nerfs
C'est un bras d'fer qui nos oppose, on bat de l'aile, je lâche le fiel
Car c'est les reste qu'ils nous proposent
J'regarde le ciel, constate que l'osmose dans le cosmos
A épargné les hommes constamment en état de siège
Credits
Writer(s): Paul Grabielle
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