Jamais vu
J'ai jamais vu.
C'est quoi le pire?
J'ai jamais su, quoi te dire.
Un souvenir tue.
C'est ça le pire.
Un substitut,
Pour tenir pour garder les yeux ouvert sans trop s'appartenir
C'est marcher sur un fil et parsemer
Un ciel léger, d'étoiles subtiles
Insubmersible même si mon corps a chavirer
Blessure inscrite sur un morceau de peau doré, de peau calcinée
J'ai surement du laisser le soleil un peu trop chauffer
Alors mes yeux, dans la nuit noire, sont révulsés
Y a des moments comme celui la,
Je n'sais pas trop si j'existe ou pas.
Je vois des sons, je sens des voix, enfin je crois.
J'entends la joie des gens ranger, rageant, ronger souvent,
Rougir parfois devant tes dents qui illuminent de leurs éclats.
J'ai toujours du, pas souvent pu, me retenir.
Déjà vécu.
Rester coucher et tout sentir.
Chercher à sourire.
Déjà déçu? Un moi pêchu à l'avenir.
Sans regarder et puis pour toi s'en ressentir
Y a des moments comme celui la, je n'sais pas trop si j'existe ou pas.
Je vois des sons, je sens des voix, enfin je crois.
J'entends la joie des gens ranger, rageant, ronger souvent,
Rougir parfois devant tes dents qui illuminent de leurs éclats.
Insubmersible, c'est sur même si, tout a plongé.
C'est quoi le pire?
J'ai jamais su, quoi te dire.
Un souvenir tue.
C'est ça le pire.
Un substitut,
Pour tenir pour garder les yeux ouvert sans trop s'appartenir
C'est marcher sur un fil et parsemer
Un ciel léger, d'étoiles subtiles
Insubmersible même si mon corps a chavirer
Blessure inscrite sur un morceau de peau doré, de peau calcinée
J'ai surement du laisser le soleil un peu trop chauffer
Alors mes yeux, dans la nuit noire, sont révulsés
Y a des moments comme celui la,
Je n'sais pas trop si j'existe ou pas.
Je vois des sons, je sens des voix, enfin je crois.
J'entends la joie des gens ranger, rageant, ronger souvent,
Rougir parfois devant tes dents qui illuminent de leurs éclats.
J'ai toujours du, pas souvent pu, me retenir.
Déjà vécu.
Rester coucher et tout sentir.
Chercher à sourire.
Déjà déçu? Un moi pêchu à l'avenir.
Sans regarder et puis pour toi s'en ressentir
Y a des moments comme celui la, je n'sais pas trop si j'existe ou pas.
Je vois des sons, je sens des voix, enfin je crois.
J'entends la joie des gens ranger, rageant, ronger souvent,
Rougir parfois devant tes dents qui illuminent de leurs éclats.
Insubmersible, c'est sur même si, tout a plongé.
Credits
Writer(s): Julien Loubières
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