Couleur myrtille
Au fond du seau du sable reste encore
Triste j'ai fondu je rêve à tort
J'ai laisser les silences
Héler seul en ciblant
Celles et ceux qui s'élancent
Assis là gentiment
Mes lacets sans un noeud
C'est le seuil sensible
Et l'aspect sale et celui qui laisse impassible
Mon regard pointe les cieux des étoiles prêtes à filer
Crée l'histoire tel les dieux,
Je repars sans sourciller
Des visages pernicieux se dévoilent
Presque entier
La nuit tombe sous le feu d'un soleil qui frétillait
Début d'une nouveauté.
Fragilité ancienne
Des mois de nous ôté,
Des habits qui nous gênent
Le simple-nous, n'aurait
Pas la même rengaine
Désarroi ou beauté, c'est comme ça que j'égrène
Mes cinq doigts doux,
Dotés, de saveurs qui parsèment
Sous son nez des mélanges qui jusqu'au matin tiennent
Des hasards périlleux, sous un voile qui scintille
Qui reflète dans ses yeux comme une
Couleur Myrtille
Rêves à part, soit sérieux, je te sens émoustillé,
Tu t'égares, on fait mieux, nous on s'est déshabillé
Une lumière chaude, intense qui s'élance
Ton oeil regarde, arrête et recommence
Le paysage tient quelques secondes encore
Dans ces paupières fermées,
Qui contemplent ce dehors
Sur un fond rouge et sombre
étrange toile du corps
Que les restes enfermés d'un complexe décors
Peu à peu les contours, se dessinent un peu mieux
Et laissent voir tour à tour,
Les limites dans ce jeu
Brouillard aux alentours,
Tu fermes plus fort tes yeux
Espérant retenir, tous ces rêves si précieux
Triste j'ai fondu je rêve à tort
J'ai laisser les silences
Héler seul en ciblant
Celles et ceux qui s'élancent
Assis là gentiment
Mes lacets sans un noeud
C'est le seuil sensible
Et l'aspect sale et celui qui laisse impassible
Mon regard pointe les cieux des étoiles prêtes à filer
Crée l'histoire tel les dieux,
Je repars sans sourciller
Des visages pernicieux se dévoilent
Presque entier
La nuit tombe sous le feu d'un soleil qui frétillait
Début d'une nouveauté.
Fragilité ancienne
Des mois de nous ôté,
Des habits qui nous gênent
Le simple-nous, n'aurait
Pas la même rengaine
Désarroi ou beauté, c'est comme ça que j'égrène
Mes cinq doigts doux,
Dotés, de saveurs qui parsèment
Sous son nez des mélanges qui jusqu'au matin tiennent
Des hasards périlleux, sous un voile qui scintille
Qui reflète dans ses yeux comme une
Couleur Myrtille
Rêves à part, soit sérieux, je te sens émoustillé,
Tu t'égares, on fait mieux, nous on s'est déshabillé
Une lumière chaude, intense qui s'élance
Ton oeil regarde, arrête et recommence
Le paysage tient quelques secondes encore
Dans ces paupières fermées,
Qui contemplent ce dehors
Sur un fond rouge et sombre
étrange toile du corps
Que les restes enfermés d'un complexe décors
Peu à peu les contours, se dessinent un peu mieux
Et laissent voir tour à tour,
Les limites dans ce jeu
Brouillard aux alentours,
Tu fermes plus fort tes yeux
Espérant retenir, tous ces rêves si précieux
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