Puissance quatre
La positivité commence par sourire
La négativité commence quand on te brise ton sourire
Ressens-tu la farce
La vie est bien faite, mais la mauvaise foi la gâche
J'attise la force et l'honneur pour les miens
Pour que leurs souhaits marchent
Ressens-tu la glace qui enveloppe mon cœur
Par-dessous, il est là qui bat
Qui sait, au rythme de l'univers
J'aime déverser mes vers
Tu peux garder ta bière ou ta liqueur
Et je le dis sans rancœur
La première des contradictions se cristallise
A mon avis
Au cœur de nos addictions
Sans doute, le temps nous est compté
Veux-tu te suicider par noyade
La nature est paisible
J'attends qu'entre les humains cesse l'empoignade
Ok
Puissance 4, j'arrive en C3
Allume la mèche, il ne reste que deux secondes, hein
Deux secondes, hein
Puissance 4, j'arrive en C3
Allume la mèche, il ne reste que deux secondes, hein
Deux secondes, hein
Ok
J'entame une musique, je laisse parler les tripes
Avec les notes, je ne peux pas prendre pas la fuite
Je cherche la combinaison
Qui accompagnera un de mes couplets affutés
Prêt à te faire vriller
Le taureau fonce vers sa mort
Et l'homme attend la bête pour la tuer
Mais il se trompe, car elle est là, dans sa tête
Et non pas dans l'arène
Alors, il boit, toujours la liqueur
Il alimente le torrent, et son bonheur s'en va chancelant
On lui disait tu verras grand
Mais maintenant chez lui, il n'y a rien de phénoménal
Non que du très banal, à vrai dire, il le sait
Il veut se croire spécial mais la farce est réelle
Et le miroir dit parfois vrai quand il voit sa vieille gueule
Sa peau est marquée, il se dit
Ai-je vraiment tout tenté
Ok
Puissance 4, j'arrive en C3
Allume la mèche, il ne reste que deux secondes, hein
Deux secondes, hein
Puissance 4, j'arrive en C3
Allume la mèche, il ne reste que deux secondes, hein
Deux secondes, hein
L'enfant
N'en avait cure il était déjà grand
Aussi, à présent, l'être humain qu'il est se doit de s'en rappeler
Oublier l'enfance, c'est renier son passé
Et faire preuve de lâcheté
A force d'efforts, il peut comprendre qu'il doit
Toujours apprendre s'il veut
Appréhender avec justesse son environnement environnant
Et les gens qui le peuplent
L'enfant
Est toujours là, toujours seul, il sait, et se tait
L'enfant
L'enfant
Est toujours là, toujours seul, il sait, et se tait
Puissance 4, j'arrive en C3
Allume la mèche, il ne reste que deux secondes, hein
Deux secondes, hein
La négativité commence quand on te brise ton sourire
Ressens-tu la farce
La vie est bien faite, mais la mauvaise foi la gâche
J'attise la force et l'honneur pour les miens
Pour que leurs souhaits marchent
Ressens-tu la glace qui enveloppe mon cœur
Par-dessous, il est là qui bat
Qui sait, au rythme de l'univers
J'aime déverser mes vers
Tu peux garder ta bière ou ta liqueur
Et je le dis sans rancœur
La première des contradictions se cristallise
A mon avis
Au cœur de nos addictions
Sans doute, le temps nous est compté
Veux-tu te suicider par noyade
La nature est paisible
J'attends qu'entre les humains cesse l'empoignade
Ok
Puissance 4, j'arrive en C3
Allume la mèche, il ne reste que deux secondes, hein
Deux secondes, hein
Puissance 4, j'arrive en C3
Allume la mèche, il ne reste que deux secondes, hein
Deux secondes, hein
Ok
J'entame une musique, je laisse parler les tripes
Avec les notes, je ne peux pas prendre pas la fuite
Je cherche la combinaison
Qui accompagnera un de mes couplets affutés
Prêt à te faire vriller
Le taureau fonce vers sa mort
Et l'homme attend la bête pour la tuer
Mais il se trompe, car elle est là, dans sa tête
Et non pas dans l'arène
Alors, il boit, toujours la liqueur
Il alimente le torrent, et son bonheur s'en va chancelant
On lui disait tu verras grand
Mais maintenant chez lui, il n'y a rien de phénoménal
Non que du très banal, à vrai dire, il le sait
Il veut se croire spécial mais la farce est réelle
Et le miroir dit parfois vrai quand il voit sa vieille gueule
Sa peau est marquée, il se dit
Ai-je vraiment tout tenté
Ok
Puissance 4, j'arrive en C3
Allume la mèche, il ne reste que deux secondes, hein
Deux secondes, hein
Puissance 4, j'arrive en C3
Allume la mèche, il ne reste que deux secondes, hein
Deux secondes, hein
L'enfant
N'en avait cure il était déjà grand
Aussi, à présent, l'être humain qu'il est se doit de s'en rappeler
Oublier l'enfance, c'est renier son passé
Et faire preuve de lâcheté
A force d'efforts, il peut comprendre qu'il doit
Toujours apprendre s'il veut
Appréhender avec justesse son environnement environnant
Et les gens qui le peuplent
L'enfant
Est toujours là, toujours seul, il sait, et se tait
L'enfant
L'enfant
Est toujours là, toujours seul, il sait, et se tait
Puissance 4, j'arrive en C3
Allume la mèche, il ne reste que deux secondes, hein
Deux secondes, hein
Credits
Writer(s): Félicien Devailly
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