Douleurs d'estime
Des parties de moi
Se trouvent dans mes vers
Elles sont scellées comme Horcruxes
C'était mon trésor j'ai cru
Que ça se finirait never
Au fond je crois
Que sont jetés les dés
Quand elle me laisse en vu
Peut-être songe-t-elle aider
Ces rêves sont délétères
Je me suis vu
Aller sonder les terres
Où les machines errent
Je dois maîtriser
Mon imaginaire
Et abattre ma chimère
La tête dans la pensine
Face à ces souvenirs
Je dois mener l'offensive
Au quatrième des singes sages
Celui dont les mains
Cachent le cœur
Je souhaite que ceux
Au chanceux dessein le sachent
J'ai parcouru les plages sans 'L'
Et mon style s'est assombri
Tout s'emmêle
Mon art c'est ma son-pri
Aux allures de Dédale
Quand je détaille
Je dis que j'ai demandé
Combien elle m'aimait
A une fleur à six pétales
La pente que je dévale
Est à 40 degrés
Tout est à recréer
Soufflé par vents de regrets
Assez de demeurer
Des silhouettes clandestines
On pose pour être
Rembourser nos dettes
Maîtriser nos esprits
Et même si c'est une médecine
Cette musique mène
Aux douleurs d'estime
Et on souhaite pas le dessein
Que la foule leur destine
Assez de demeurer
Des silhouettes clandestines
On pose pour être
Rembourser nos dettes
Maîtriser nos esprits
Et même si c'est une médecine
Cette musique mène
Aux douleurs d'estime
Et on souhaite pas le dessein
Que la foule leur destine
Des trous dans nos baskets
On entend les bruits qui courent
J'ai pas fait de skeud
J'ai fait plus de 45 tours
Dans mon cercle vicieux
Où le temps presse comme le vinyle
Pourtant c'est précieux
Précis comme l'aiguille
Avant que son tour ne file
Bercé par la lueur d'espoir
De mes gars que j'estime
Dans les gammes je m'esquive
Et quand j'ai grammes je respire
Quand c'est plus l'heure
L'or à l'homme compare la valeur
Voile devant la vue
Voient leur voie
Vivent pas leur vie
Restent sans voix
Tant que ça va-leur
Avec une malle, leurre
Suffit d'une balle, pleurs
Et ne me parle pas de malheur
(normal)
Car le malin n'est pas de ceux
A qui fait peur le mal
Si t'as le blouse
Pas besoin de fume
Purple H
Une peur bleue
Qu'on te fusille
Entre première ligne
Et dernière page
L'encre coule
Le papier se raye
Et la mine se ronge
On doute face à nos rêves
On reste debout
Pour que la maille s'allonge
Assez de demeurer
Des silhouettes clandestines
On pose pour être
Rembourser nos dettes
Maîtriser nos esprits
Et même si c'est une médecine
Cette musique mène
Aux douleurs d'estime
Et on souhaite pas le dessein
Que la foule leur destine
Assez de demeurer
Des silhouettes clandestines
On pose pour être
Rembourser nos dettes
Maîtriser nos esprits
Et même si c'est une médecine
Cette musique mène
Aux douleurs d'estime
Et on souhaite pas le dessein
Que la foule leur destine
Douleurs d'estime
Douceur exquise
Peu, seront les sourires
Qu'on esquisse
Douleurs d'estime
Douceur exquise
Peu, seront les sourires
Qu'on esquisse
Il y a pas milles excuses
Mais tu en trouveras
Quelques unes
Dans ce disque
J'ai tant attendu
Un regard confiant
Une tape d'amour
Mais je me sens seul
comme H-armon sur Aznavour
Je suis naze j'avoue
J'ai beau l'écrire
Tout ce que j'ai à dire
Est grave tabou
Nos rapports pudiques
M'obligent à plier le genou
Et tu sais que tard je noue
Maladresses, sentiments
Dans un verre de nous
Qui se renverse
Laisse une flaque de boue
Qui entache mon existence
Ce mal-être empoisonne
Tout ce qui est excitant
En quête d'estime
Dans cette dimension
Qu'on m'écoute
Mais sur d'immense ondes
Où les foules crient mon nom
Même je dis mensonges
Il y a toutes ces chansons
Qui jamais ne verront
La douceur du printemps
Ces fleurs qu'errent un temps
Leur pollen éreintant
Derrière yeux vairons
Différentes couleurs
Qui témoignent
De cette chienne d'estime
Et toutes ses douleurs
Assez de demeurer
Des silhouettes clandestines
On pose pour être
Rembourser nos dettes
Maîtriser nos esprits
Et même si c'est une médecine
Cette musique mène
Aux douleurs d'estime
Et on souhaite pas le dessein
Que la foule leur destine
Assez de demeurer
Des silhouettes clandestines
On pose pour être
Rembourser nos dettes
Maîtriser nos esprits
Et même si c'est une médecine
Cette musique mène
Aux douleurs d'estime
Et on souhaite pas le dessein
Que la foule leur destine
Se trouvent dans mes vers
Elles sont scellées comme Horcruxes
C'était mon trésor j'ai cru
Que ça se finirait never
Au fond je crois
Que sont jetés les dés
Quand elle me laisse en vu
Peut-être songe-t-elle aider
Ces rêves sont délétères
Je me suis vu
Aller sonder les terres
Où les machines errent
Je dois maîtriser
Mon imaginaire
Et abattre ma chimère
La tête dans la pensine
Face à ces souvenirs
Je dois mener l'offensive
Au quatrième des singes sages
Celui dont les mains
Cachent le cœur
Je souhaite que ceux
Au chanceux dessein le sachent
J'ai parcouru les plages sans 'L'
Et mon style s'est assombri
Tout s'emmêle
Mon art c'est ma son-pri
Aux allures de Dédale
Quand je détaille
Je dis que j'ai demandé
Combien elle m'aimait
A une fleur à six pétales
La pente que je dévale
Est à 40 degrés
Tout est à recréer
Soufflé par vents de regrets
Assez de demeurer
Des silhouettes clandestines
On pose pour être
Rembourser nos dettes
Maîtriser nos esprits
Et même si c'est une médecine
Cette musique mène
Aux douleurs d'estime
Et on souhaite pas le dessein
Que la foule leur destine
Assez de demeurer
Des silhouettes clandestines
On pose pour être
Rembourser nos dettes
Maîtriser nos esprits
Et même si c'est une médecine
Cette musique mène
Aux douleurs d'estime
Et on souhaite pas le dessein
Que la foule leur destine
Des trous dans nos baskets
On entend les bruits qui courent
J'ai pas fait de skeud
J'ai fait plus de 45 tours
Dans mon cercle vicieux
Où le temps presse comme le vinyle
Pourtant c'est précieux
Précis comme l'aiguille
Avant que son tour ne file
Bercé par la lueur d'espoir
De mes gars que j'estime
Dans les gammes je m'esquive
Et quand j'ai grammes je respire
Quand c'est plus l'heure
L'or à l'homme compare la valeur
Voile devant la vue
Voient leur voie
Vivent pas leur vie
Restent sans voix
Tant que ça va-leur
Avec une malle, leurre
Suffit d'une balle, pleurs
Et ne me parle pas de malheur
(normal)
Car le malin n'est pas de ceux
A qui fait peur le mal
Si t'as le blouse
Pas besoin de fume
Purple H
Une peur bleue
Qu'on te fusille
Entre première ligne
Et dernière page
L'encre coule
Le papier se raye
Et la mine se ronge
On doute face à nos rêves
On reste debout
Pour que la maille s'allonge
Assez de demeurer
Des silhouettes clandestines
On pose pour être
Rembourser nos dettes
Maîtriser nos esprits
Et même si c'est une médecine
Cette musique mène
Aux douleurs d'estime
Et on souhaite pas le dessein
Que la foule leur destine
Assez de demeurer
Des silhouettes clandestines
On pose pour être
Rembourser nos dettes
Maîtriser nos esprits
Et même si c'est une médecine
Cette musique mène
Aux douleurs d'estime
Et on souhaite pas le dessein
Que la foule leur destine
Douleurs d'estime
Douceur exquise
Peu, seront les sourires
Qu'on esquisse
Douleurs d'estime
Douceur exquise
Peu, seront les sourires
Qu'on esquisse
Il y a pas milles excuses
Mais tu en trouveras
Quelques unes
Dans ce disque
J'ai tant attendu
Un regard confiant
Une tape d'amour
Mais je me sens seul
comme H-armon sur Aznavour
Je suis naze j'avoue
J'ai beau l'écrire
Tout ce que j'ai à dire
Est grave tabou
Nos rapports pudiques
M'obligent à plier le genou
Et tu sais que tard je noue
Maladresses, sentiments
Dans un verre de nous
Qui se renverse
Laisse une flaque de boue
Qui entache mon existence
Ce mal-être empoisonne
Tout ce qui est excitant
En quête d'estime
Dans cette dimension
Qu'on m'écoute
Mais sur d'immense ondes
Où les foules crient mon nom
Même je dis mensonges
Il y a toutes ces chansons
Qui jamais ne verront
La douceur du printemps
Ces fleurs qu'errent un temps
Leur pollen éreintant
Derrière yeux vairons
Différentes couleurs
Qui témoignent
De cette chienne d'estime
Et toutes ses douleurs
Assez de demeurer
Des silhouettes clandestines
On pose pour être
Rembourser nos dettes
Maîtriser nos esprits
Et même si c'est une médecine
Cette musique mène
Aux douleurs d'estime
Et on souhaite pas le dessein
Que la foule leur destine
Assez de demeurer
Des silhouettes clandestines
On pose pour être
Rembourser nos dettes
Maîtriser nos esprits
Et même si c'est une médecine
Cette musique mène
Aux douleurs d'estime
Et on souhaite pas le dessein
Que la foule leur destine
Credits
Writer(s): Jérémy Grard, Joris Signorino
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