Le bruit de la mer
Je crois que j'ai trouvé l'instru adéquat pour faire un classique
Faut que tu me donnes de la force gros tu sais dans la vie je n'ai que la zic
Vrai que j'avais un cœur au destin tragique
Il est mort en vainqueur me laissant nostalgique
De l'époque où j'avais la force d'aimer les autres
Aujourd'hui m'en souvenir me fait souffrir
Aimer c'est prendre l'autre mais c'est aussi s'offrir
Et je crois qu'aucune ne sera capable de démêler ces névroses ouais ces nœuds
Je déteste mon côté vénéneux
Mes textes encodés ténébreux sont plein de poussière
Les rapper me remplit de peine
Donc je passerai la nuit à me bousiller
Du sky bas de gamme dans le gosier
Avec le sheitan j'ai négocié il a promis de réparer mon ego scié
C'est quand on saigne qu'on signe qu'importe les consignes qu'on sait
Fais sonner la basse sur la scène que je te parle que je découpe
La loop est crade comme la trap de mes loups
Moi je ne gagne que la petite coupe comme un club andalou
De jour en jour ma vie perd en value
Pétard de beuh mieux qu'un cachet de valium
Pour mes lions, pour mes lionnes, les bavards, les voyous
Sur ma tempe est braqué un USP, c'est mon ombre qui exige du respect
Sur le droit chemin il aurait fallu rester, serai-je pardonné si je me démène comme Faust
Je té-gra des seize je fais que les répéter, j'pose sur une feuille mon cœur émietté
Le H il est bon bah ouais je crache que des bombes
Dans le crâne j'ai du plomb mais j'ai l'air hébété
Coupable
J'ai passé toute ma vie à trouver des coupables
Mon rap une exaspération, j'ai trouvé mon mal être ma source d'inspiration,
Tout en bas de ma lettre, il n'y a que des mots sombres,
Et les traces sont des gouttes, pas des larmes, mais de la transpiration
Mes angoisses me dégoûtent et mon corps laisse paraître toute son indignation
Purple
J'pleure peu
Depuis que j'ai compris que j'emmènerai tous mes rêves dans mon cercueil
Je sors plus, je me sens vivre en silence et quand je reste seul
Parler de moi c'est ma Résilience, j'ai de la sève dans les veines et des larmes de résine, ouais mes récits dansent
Depuis que j'ai le rap, mais mon cœur fout le feu à sa résidence
Triste récit, mais c'est le cœur qui résiste
Il faudrait qu'on parle que du bon, que du positif
Alors je tire un trait, je parlerai du bien plus jamais de son contraire
J'ai des potes qui sont devenus des frères, et des frères dont je suis fier
On a tout pour nos rêves, pour les satisfaire il faut croire en nous
On n'est pas vraiment seul dans les peurs dans les doutes
C'est peut-être un peu bête, il faut vivre pour se sentir en vie
Qu'on partage pour se sentir entier
Les questions dans nos tête, c'est des camisoles
On nous bride et les codes sont solides, c'est pour qu'on s'isole
Vivre ouais ça n'attend pas
Ce texte est un attentat
C'est moi le coupable le peura ça m'emmerde
J'ai laissé le boom-bap pour le bruit de la mer
Faut que tu me donnes de la force gros tu sais dans la vie je n'ai que la zic
Vrai que j'avais un cœur au destin tragique
Il est mort en vainqueur me laissant nostalgique
De l'époque où j'avais la force d'aimer les autres
Aujourd'hui m'en souvenir me fait souffrir
Aimer c'est prendre l'autre mais c'est aussi s'offrir
Et je crois qu'aucune ne sera capable de démêler ces névroses ouais ces nœuds
Je déteste mon côté vénéneux
Mes textes encodés ténébreux sont plein de poussière
Les rapper me remplit de peine
Donc je passerai la nuit à me bousiller
Du sky bas de gamme dans le gosier
Avec le sheitan j'ai négocié il a promis de réparer mon ego scié
C'est quand on saigne qu'on signe qu'importe les consignes qu'on sait
Fais sonner la basse sur la scène que je te parle que je découpe
La loop est crade comme la trap de mes loups
Moi je ne gagne que la petite coupe comme un club andalou
De jour en jour ma vie perd en value
Pétard de beuh mieux qu'un cachet de valium
Pour mes lions, pour mes lionnes, les bavards, les voyous
Sur ma tempe est braqué un USP, c'est mon ombre qui exige du respect
Sur le droit chemin il aurait fallu rester, serai-je pardonné si je me démène comme Faust
Je té-gra des seize je fais que les répéter, j'pose sur une feuille mon cœur émietté
Le H il est bon bah ouais je crache que des bombes
Dans le crâne j'ai du plomb mais j'ai l'air hébété
Coupable
J'ai passé toute ma vie à trouver des coupables
Mon rap une exaspération, j'ai trouvé mon mal être ma source d'inspiration,
Tout en bas de ma lettre, il n'y a que des mots sombres,
Et les traces sont des gouttes, pas des larmes, mais de la transpiration
Mes angoisses me dégoûtent et mon corps laisse paraître toute son indignation
Purple
J'pleure peu
Depuis que j'ai compris que j'emmènerai tous mes rêves dans mon cercueil
Je sors plus, je me sens vivre en silence et quand je reste seul
Parler de moi c'est ma Résilience, j'ai de la sève dans les veines et des larmes de résine, ouais mes récits dansent
Depuis que j'ai le rap, mais mon cœur fout le feu à sa résidence
Triste récit, mais c'est le cœur qui résiste
Il faudrait qu'on parle que du bon, que du positif
Alors je tire un trait, je parlerai du bien plus jamais de son contraire
J'ai des potes qui sont devenus des frères, et des frères dont je suis fier
On a tout pour nos rêves, pour les satisfaire il faut croire en nous
On n'est pas vraiment seul dans les peurs dans les doutes
C'est peut-être un peu bête, il faut vivre pour se sentir en vie
Qu'on partage pour se sentir entier
Les questions dans nos tête, c'est des camisoles
On nous bride et les codes sont solides, c'est pour qu'on s'isole
Vivre ouais ça n'attend pas
Ce texte est un attentat
C'est moi le coupable le peura ça m'emmerde
J'ai laissé le boom-bap pour le bruit de la mer
Credits
Writer(s): Jérémy Grard, Joris Signorino
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