Les nuits d'Octembre
Des romances naissent sans promesses
Dans la pénombre d'une chambre
Que des cheveux que l'on caresse
Au soir d'un 30 septembre
Sous la pression de nos doigts
Nous explorions un territoire
Sous notre cabane de draps
Nous fabriquions une histoire
Passé le dernier soupir
Au creux de notre sanctuaire
Je te regardais t'endormir
Au risque que la magie opère
Au matin du premier octembre
Un premier tendre matin
Le soleil nous brûlait la peau
Nos corps nous brûlaient les mains
Chaque jour offrait une aventure
Que nous dévorions sans faute
Avec des gros bouts de futur
Plein nos têtes de linottes
Le soleil qui se couchait
Cédait sa place au démon
Sous les nuits rouges d'Octembre
Nous libérions nos passions
Dans la douceur des nuits d'Octembre
Nous nous endormions apaisés
Quand je me réveillais la nuit
Je te sentais à mes côtés
Au midi du 15 octembre
On entendait sonner des cloches
Admirant du piédestal
Notre petit empire de poche
La frise de nos temps passés
Les colonnades qui les supportent
Du printemps plein nos yeux malgré
Le spectacle des feuilles mortes
Écoutant d'une oreille tendre
Les rires d'enfants dans la cour
Couchés sous le ciel bleu d'Octembre
Nous regardions couler les jours
Dans la douceur des nuits d'Octembre
Nous nous endormions apaisés
Quand je me réveillais la nuit
Je te sentais à mes côtés
Au soir du 31 octembre
Dans la cadence d'une danse douce
Nous avancions à petits pas
Sur les pavés chargés de mousse
Main dans la main, sereinement
À l'heure où le jour bascule
Sur ce chemin qui s'étend
En direction du crépuscule
Finissant notre balade, Entre
Les coupoles de marbre blanc
Sous les vieux astres d'Octembre
Nous nous endormions sagement
Dans la douceur des nuits d'Octembre
Nous nous endormions apaisés
Quand je me réveillais la nuit
Je te sentais à mes côtés
Au matin du premier octobre
Assassine matinée
Tout Octembre englouti
Sous un grand vide à mes côtés
Quand sous la chape du soleil
Tous les toits et tous les cœurs brûlent
Que leurs corps consument leurs mains
En attendant le crépuscule
Moi je te cherche encore en vain
Dans la pénombre de la chambre
Toi qui es sûrement déjà loin
Raillant les prophéties d'Octembre
Dans la douceur d'une nuit d'Octembre
Je m'endormis à tes côtés
Et je me réveillais la nuit
Apaisé
Dans la douceur d'une nuit d'Octembre
Je m'endormis à tes côtés
Et je me réveillais la nuit
Apaisé
Dans la pénombre d'une chambre
Que des cheveux que l'on caresse
Au soir d'un 30 septembre
Sous la pression de nos doigts
Nous explorions un territoire
Sous notre cabane de draps
Nous fabriquions une histoire
Passé le dernier soupir
Au creux de notre sanctuaire
Je te regardais t'endormir
Au risque que la magie opère
Au matin du premier octembre
Un premier tendre matin
Le soleil nous brûlait la peau
Nos corps nous brûlaient les mains
Chaque jour offrait une aventure
Que nous dévorions sans faute
Avec des gros bouts de futur
Plein nos têtes de linottes
Le soleil qui se couchait
Cédait sa place au démon
Sous les nuits rouges d'Octembre
Nous libérions nos passions
Dans la douceur des nuits d'Octembre
Nous nous endormions apaisés
Quand je me réveillais la nuit
Je te sentais à mes côtés
Au midi du 15 octembre
On entendait sonner des cloches
Admirant du piédestal
Notre petit empire de poche
La frise de nos temps passés
Les colonnades qui les supportent
Du printemps plein nos yeux malgré
Le spectacle des feuilles mortes
Écoutant d'une oreille tendre
Les rires d'enfants dans la cour
Couchés sous le ciel bleu d'Octembre
Nous regardions couler les jours
Dans la douceur des nuits d'Octembre
Nous nous endormions apaisés
Quand je me réveillais la nuit
Je te sentais à mes côtés
Au soir du 31 octembre
Dans la cadence d'une danse douce
Nous avancions à petits pas
Sur les pavés chargés de mousse
Main dans la main, sereinement
À l'heure où le jour bascule
Sur ce chemin qui s'étend
En direction du crépuscule
Finissant notre balade, Entre
Les coupoles de marbre blanc
Sous les vieux astres d'Octembre
Nous nous endormions sagement
Dans la douceur des nuits d'Octembre
Nous nous endormions apaisés
Quand je me réveillais la nuit
Je te sentais à mes côtés
Au matin du premier octobre
Assassine matinée
Tout Octembre englouti
Sous un grand vide à mes côtés
Quand sous la chape du soleil
Tous les toits et tous les cœurs brûlent
Que leurs corps consument leurs mains
En attendant le crépuscule
Moi je te cherche encore en vain
Dans la pénombre de la chambre
Toi qui es sûrement déjà loin
Raillant les prophéties d'Octembre
Dans la douceur d'une nuit d'Octembre
Je m'endormis à tes côtés
Et je me réveillais la nuit
Apaisé
Dans la douceur d'une nuit d'Octembre
Je m'endormis à tes côtés
Et je me réveillais la nuit
Apaisé
Credits
Writer(s): Alexandre Nedjari
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