La nuit
Le jour recule, le soleil
Fatigué s'en va pour la nuit
Laissant au ciel toutes les merveilles
Me laissant tout à mon ennui
Danse quotidienne des astres
Rythmant la routine de nos vies
Les meilleurs moments, et les pires
Nos désillusions, nos envies
Mais moi la nuit, j'aimerais m'évader
Trouver le néant, m'endormir sans rêver
Le cerveau éteint, sur la table de chevet
Le cerveau éteint, je pourrais oublier
Mais le sommeil se fait attendre
J'aimerais tant qu'il soit paisible
Comme celui de mon âge tendre
Il est maintenant imprévisible
Mais moi la nuit, j'aimerais m'évader
Trouver le néant, m'endormir sans rêver
Le cerveau éteint, sur la table de chevet
Le cerveau éteint, je pourrais oublier
Attiré par ces belles sirènes
Ces fantômes qui rient encore
Au pied du lit douces, sereines
M'invitent à changer de décor
Viens avec nous me disent-elles
Tu connaîtras le Nirvana
Ton corps ne sera plus jamais seul
Ton cœur n'aura plus jamais froid
Mais moi la nuit, j'aimerais m'évader
Trouver le néant, m'endormir sans rêver
Le cerveau éteint, sur la table de chevet
Enfin éteint, je pourrai oublier
Encore une fois la nuit je sombre
Dans une dernière virée nocturne
À la faveur de la pénombre
Âme errante, taciturne
Fatigué s'en va pour la nuit
Laissant au ciel toutes les merveilles
Me laissant tout à mon ennui
Danse quotidienne des astres
Rythmant la routine de nos vies
Les meilleurs moments, et les pires
Nos désillusions, nos envies
Mais moi la nuit, j'aimerais m'évader
Trouver le néant, m'endormir sans rêver
Le cerveau éteint, sur la table de chevet
Le cerveau éteint, je pourrais oublier
Mais le sommeil se fait attendre
J'aimerais tant qu'il soit paisible
Comme celui de mon âge tendre
Il est maintenant imprévisible
Mais moi la nuit, j'aimerais m'évader
Trouver le néant, m'endormir sans rêver
Le cerveau éteint, sur la table de chevet
Le cerveau éteint, je pourrais oublier
Attiré par ces belles sirènes
Ces fantômes qui rient encore
Au pied du lit douces, sereines
M'invitent à changer de décor
Viens avec nous me disent-elles
Tu connaîtras le Nirvana
Ton corps ne sera plus jamais seul
Ton cœur n'aura plus jamais froid
Mais moi la nuit, j'aimerais m'évader
Trouver le néant, m'endormir sans rêver
Le cerveau éteint, sur la table de chevet
Enfin éteint, je pourrai oublier
Encore une fois la nuit je sombre
Dans une dernière virée nocturne
À la faveur de la pénombre
Âme errante, taciturne
Credits
Writer(s): Alexandre Nedjari
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